Books by Jacques Elfassi
Valère du Bierzo : Écrits autobiographiques et visions de l’au-delà, 2021
Édition commentée et traduction du corpus autobiographique de Valerius du Bierzo, ermite hispaniq... more Édition commentée et traduction du corpus autobiographique de Valerius du Bierzo, ermite hispanique du VIIe siècle
Paris, Institut d’Études Augustiniennes, 2008

Edición de Juan Francisco Mesa Sanz.
J. F. Mesa Sanz, Presentación. I. «LATINITAS» MEDIEVAL. C. ... more Edición de Juan Francisco Mesa Sanz.
J. F. Mesa Sanz, Presentación. I. «LATINITAS» MEDIEVAL. C. Cardelle de Hartmann, La moral del latín. Observaciones sobre la «latinitas» cristiana de Agustín a la Baja Edad Media. II. MUNDO VISIGÓTICO Y ESTUDIOS SOBRE SAN ISIDORO. P. F. Alberto, Poesía visigótica y escuela carolingia – J. Carracedo Fraga, Las fuentes del capítulo sobre los «uitia et uirtutes orationis» en el Ars grammatica de Julián de Toledo – R. Furtado, La Crónica de Eusebio-Jerónimo en Madrid, BHMV, Complutense 134 (ff. 2va-14vb) – M. A. Andrés Sanz, Transmisión y recepción altomedieval de las Differentiae isidorianas: nuevos apuntes. El De praedestinatione de Ratramno de Corbie – G. Botturi, Presenza di Giobbe nei Synonyma di Isidoro di Siviglia – J. Elfassi, Nuevas fuentes en la biblioteca de Isidoro de Sevilla – A. Simôes, Para una edición crítica de la Pasión de S. Julián (BHL 4529). III. TRADUCCIÓN EN EL MEDIOEVO LATINO. J. Martínez Gázquez, «Necessitas et utilitas» en las traducciones al latín en la Edad Media – S. Madrid Medrano, El Liber Philosophorum Moralium Antiquorum en el ms. 2697 de la Biblioteca Universitaria de Salamanca. IV. LATINIDAD MEDIVAL TARDÍA. SIGLOS XII AL XV. F. Santi, I nomi di Dio nella teologia di frontiera (sec. XII-XIII) – E. Pérez Rodríguez, Cantus in laudem Virginis. La poesía religiosa de Juan Gil de Zamora: sus consecuencias – M. Ángel Atanasio, El proyecto de sermonario completo de Juan Gil de Zamora, OFM – M. Mañas Núñez, El Ars brevis de Llull comentada por Cornelio Agrippa – C. López Alcalde, El Liber de Aduentu Messiae de Ramón Llull y la literatura «aduersus Iudaeos» del siglo XIII – C. Ferrero Hernández, Del códice matritense de Juan Diácono (s. XIII) a la leyenda hagiográfica de San Isidro Labrador. Lecturas, re-escrituras y polémicas – I. Figueiras, La reescritura de la Pasión hispánica de San Cucufate (BHL 1999 y 1998) – J. A. González Marrero, La navegación por las islas atlánticas a través de las Vitae Sanctorum Hiberniae – L. Pomer Monferrer, La traducción de sinónimos, anáforas y otros recursos estilísticos del De virginitate perpetua Sanctae Mariae de Ildefonso de Toledo: el Arcipreste de Talavera – M. Montoza Coca, El uso de Bernardo de Claraval como autoridad en los Sermones de Don Martín García – V. INQUISICIÓN MEDIEVAL. J. A. Barrio Barrio, Origen, desarrollo y evolución de los manuales de inquisidores en la Edad Media – M. A. Angelino Pardo, El Repertorium perutile de pravitate haereticorum et apostatarum de Miquel Albert en la tradición de la manualística inquisitorial medieval. VI. LATÍN MEDIEVAL CIENTIFICO. E. Montero Cartelle, Maleficios y esterilidad en la medicina medieval: las clases de remedios – E. Sánchez Salor, La doctrina quiromántica medieval recogida en un manual emparedado en Barcarrota (Badajoz) – R. Comes, El latín científico del siglo XII. Edición crítica del tratado De scientia stellarum. Traducción al latín de Plato Tiburtinus de «al-Ziy al-S.abi’» de al-Battani – A. Aguilera Felipe, Manuscritos de Pietro d’Abano en España: una reflexión. VII. EPIGRAFÍA MEDIEVAL. J. del Hoyo Calleja, Panorama de la epigrafía medieval hispana. Dificultades y propuestas – J. M. Escolà Tuset, Tòpics a la poesia epigràfica llatina de l’època medieval catalana – Á. Castresana López, Una inscripción hermética en el claustro románico de Santo Domingo de Silos: un díptico elegíaco inédito. VIII. LEXICOGRAFIA LATINA MEDIEVAL. M. A. Fornés Pallicer - M. Puig Rodríguez-Escalona, El interés extralingüístico del Glossarium Mediae Latinitatis Cataloniae – M. Punsola Munárriz - P. J. Quetglas - S. Allés Torrent, La edición digital del Glossarium Mediae Latinitatis Cataloniae (GMLC) – M. Moscone, Per un’edizione digitale della documentazione latina medievale di area portoghese: il progetto CODOLPOR – «Corpus Documentale Latinum Portucalense» – J. F. Mesa Sanz, Nuevas herramientas de la lexicografía latina medieval. Aproximación al estudio de las partículas conectivas. IX. ESTUDIOS DE DIACRONÍA. A. Hurtado Jiménez, Interferencias lingüísticas en un corpus documental del siglo XV – F. Gimeno Menéndez, Sociolingüística histórica: fundamentos de los protorromances hispanos – J. M. Antolí Martínez, De «similare» als derivats gal.loromànics: la subjectivació com a tendència del canvi semàntic en llatí tardà. X. DOCUMENTACIÓN DIPLOMÁTICA Y DIDÁCTICA. R. Cuellas Campodarbe†, «Quando intravimus Balagarium, liberavit nos de manibus sarracenorum». Noves reflexions al voltant de la conquesta de Balaguer i la concessió de la seva carta de poblament (1117-1122) – C. Goñi Buil - A. R. Pont, Latín medieval: instrumento didáctico en bachillerato. XI. DE OCCIDENTE A ORIENTE Y VICEVERSA. A. A. Nascimento, San Vicente de Valencia llevado a Lisboa: los avatares de un culto. IN MEMORIAM. HOMENAJE AL PROFESOR LUIS CHARLO BREA. M. Pérez González, Homenaje a Luis Charlo Brea – J. M. Maestre Maestre, Ludouico Charlo Brea sacrum – M. Pérez González, Características de la documentación diplomática del Monasterio de Sahagún – J. M. Maestre Maestre, Rasgos lingüísticos medievales del tratado Quinque articuli contra Iudaeos incorrectamente atribuido a Rodrigo Fernández de Santaella – A. Regagliolo, ÍNDICES.

Le répertoire bibliographique de José Carlos Martin, intitulé Sources latines de l’Espagne tardo-... more Le répertoire bibliographique de José Carlos Martin, intitulé Sources latines de l’Espagne tardo-antique et médiévale, écrit avec la collaboration de Carmen Cardelle de Hartmann et de Jacques Elfassi, constitue un usuel indispensable, un outil sans pareil pour la lecture et l’étude de la littérature hispano-latine entre les Ve et XIVe siècles.
Il n’est pas un simple répertoire : les 3 000 travaux référencés (jusqu’en avril 2009) et classés (« Répertoires », « Manuels », « Éditions de textes »…) sont intégrés dans une histoire des études hispaniques, des origines au début du xxe siècle à nos jours. Chaque notice est accompagnée de notes critiques destinées à orienter le lecteur sur l’intérêt littéraire, historique ou linguistique du document. Pour l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge est référencée la littérature latine composée dans l’ensemble de la Péninsule ibérique. Pour le Moyen Âge tardif, seule l’Espagne a été prise en compte.
Un manuel exceptionnel qui introduit à l’étude des sources hispano-latines de l’Antiquité tardive et à la philologie, la philosophie, et l’histoire du Moyen Âge.

Les Synonyma d’Isidore de Séville, ouvrage de contenu ascétique et spirituel mais remarquable aus... more Les Synonyma d’Isidore de Séville, ouvrage de contenu ascétique et spirituel mais remarquable aussi par son style synonymique, connurent un très grand succès au Moyen Âge : plus de cinq cents manuscrits en ont été conservés, et ils furent abondamment cités par les auteurs médiévaux. Or pourtant ils n’avaient jamais fait l’objet d’une édition critique : leur dernière édition remontait à près de deux siècles (c’est celle de F. Arévalo, parue à Rome en 1802, et reproduite dans la Patrologie Latine). Ce volume propose donc la première édition critique des Synonyma, fondée sur la collation des manuscrits les plus anciens. La principale nouveauté de ce travail est la distinction entre deux rédactions de l’œuvre, qui sont toutes deux, probablement, de la main d’Isidore ; l’étude des sources incite à penser qu’elles sont issues d’un même modèle que l’auteur aurait corrigé de manière indépendante. Le titre même de « Synonyma » n’est peut-être pas le seul : on trouve aussi le titre « Liber soliloquiorum », qui semble lui aussi isidorien. L’autre apport de cette édition est la recherche systématique des sources, qui prouve que, comme dans ses autres œuvres, Isidore a abondamment emprunté à ses prédécesseurs.

Ce volume collectif a pris comme point de départ deux hypothèses qui avaient besoin d’être confir... more Ce volume collectif a pris comme point de départ deux hypothèses qui avaient besoin d’être confirmées : d’une part que l’influence d’Isidore continua à être importante dans le Moyen Âge tardif, et d’autre part que son image fut un peu différente dans ce Moyen Âge tardif de celle qui avait été la sienne à l’époque carolingienne. L’Isidore scientifique, celui des Etymologiae et du De natura rerum, a perdu du poids, et c’est l’Isidore spirituel des Synonyma ou de l’Inter Deum qui domine (c’est ce que montrent les articles de Mª. A. Andrés Sanz sur la réception de l’Inter Deum et le mien sur la réception des Synonyma à la fin du Moyen Âge ; un travail sur les Sententiae aurait probablement mené aux mêmes conclusions). Il faut toutefois rester nuancé sur le relatif déclin des Étymologies : elles continuent à être largement copiées (ce que confirme B. Van den Abeele dans son étude de la tradition manuscrite des Étymologies, qui évalue les apports et les limites de la liste d’E. A. Anspach), et elles continuent à être utilisées dans les encyclopédies naturelles (voir l’article d’I. Draelants sur les lapidaires médiévaux et celui de M. Schmitz sur le Tractatus de naturis animalium d’Engelbert d’Admont). En outre elles restent souvent le réceptacle naturel des nouvelles connaissances : de nombreux manuscrits tardifs comportent ainsi des additions qui ne font que « compléter » le texte isidorien, mais sans le faire disparaître (C. Codoñer en donne un exemple avec des textes médicaux). Comme le montre J.-F. Chevalier, les humanistes italiens eux-mêmes, tout en prenant leur distance avec l’auteur des Étymologies, ne peuvent s’empêcher de les utiliser, même de manière inavouée. Semblablement B. Ribémont prouve que Brunetto Latini, bien qu’il ne cite pas le nom d’Isidore, compile en fait le De ortu et obitu patrum. Le volume s’intéresse aussi aux traductions d’Isidore en ancien français (étude de F. Duval) et à la figure du saint, qui fut l’objet de plusieurs Vitae (J. C. Martín propose l’édition princeps de la Vita beati Hysidori de Juan Gil de Zamora).

Depuis une vingtaine d’années, la plus grande partie de l’œuvre d’Isidore a fait l’objet d’une éd... more Depuis une vingtaine d’années, la plus grande partie de l’œuvre d’Isidore a fait l’objet d’une édition critique. Le but de ce colloque était donc de réunir le plus grand nombre possible d’éditeurs d’Isidore pour qu’ils pussent confronter leurs expériences de travail, et d’autre part, limiter la discussion à un problème suffisamment précis pour que le débat ne fût pas trop général : le problème des recensions multiples s’est vite imposé comme un des problèmes majeurs rencontrés par les isidoriens. Presque tous les participants au colloque sont des éditeurs d’Isidore de Séville, et leur communication porte sur leur édition critique. Plusieurs de ces éditions ne sont pas encore publiées, certaines même ne sont pas totalement achevées, de sorte que ces Actes apportent souvent des informations encore inédites. Ainsi, D. Poirel a pu présenter son édition des Allegoriae, finie mais non encore publiée ; c’était le cas aussi de J. Cantó Llorca et de moi-même, car à l’époque nos éditions (livre XVIII des Etymologiae et Synonyma) n’étaient pas encore parues. D’autres ont exposé leur travail encore inachevé : Mª. A. Andrés Sanz dont l’édition des Prooemia est presque terminée, et I. Velázquez qui vient juste de commencer une nouvelle édition critique de l’Historia Gothorum. C. Codoñer, qui est en train de préparer l’édition du livre X des Etymologiae, a choisi de limiter son intervention à une introduction générale aux problèmes de transmission des Etymologiae. D’autres auteurs, qui ont déjà fait paraître leur travail, sont néanmoins revenus sur les problèmes qu’ils ont rencontrés : c’est le cas de C. Chaparro Gómez, qui a aussi pris en considération les comptes rendus de son édition du De ortu et obitu patrum, et de M. Rodríguez-Pantoja, qui a apporté des éléments nouveaux par rapport à son édition du livre XIX des Etymologiae. J. C. Martín n’avait pas encore fait paraître son édition des Chronica lorsque le colloque a eu lieu, mais il a actualisé son texte en tenant compte, évidemment, de la publication de son travail en 2003. Enfin, deux participants à ce colloque ont apporté un éclairage légèrement différent : A. A. Nascimento a présenté la découverte qu’il a faite de la copie autographe de l’humaniste espagnol Álvar Gómez de Castro, élaborée pour la préparation de son édition des Étymologies et qu’on croyait perdue ; en guise d’épilogue, M. Pérez González a conclu ce colloque par quelques remarques sur l’édition des textes médio-latins. J. Fontaine, qui n’avait pas pu assister au colloque, nous a fait l’honneur d’en préfacer les Actes.
Papers by Jacques Elfassi

Jacques Fontaine y su contribución a los estudios isidorianos: una evocación Estoy muy agradecido... more Jacques Fontaine y su contribución a los estudios isidorianos: una evocación Estoy muy agradecido a los organizadores del presente Congreso de Latín Medieval Hispánico por haberme invitado a este homenaje a Jacques Fontaine. Me siento tanto más honrado por cuanto yo conocí bastante poco a Fontaine. Lo conocí sólo tarde, en el año 1996, cuando yo estaba sólo empezando mi tesis de doctorado y él estaba ya jubilado. Desde el punto de vista académico, los únicos vínculos que tuve con él es que fue el presidente de mi tribunal de tesis y que me pidió colaborar con él en dos "crónicas" quinquenales, publicadas por la Revue des Études Anciennes, sobre España en la Antigüedad Tardía 1. Pero debo confesar, por ejemplo, que no asistí a ninguna de sus clases: siempre he oído que era un excelente profesor, pero no puedo confirmarlo personalmente. Tampoco tuve con él ninguna conversación de carácter personal; creo que su carácter no era dado a hacer demasiadas confidencias y, de todos modos, cuando hablé con él, nunca me atreví a hablarle de cosas que no fuesen cuestiones académicas: siempre me sentía delante de él como un aprendiz muy joven delante de un gran maestro. Pero hay otra razón, más objetiva, que explica la relativa dificultad de hablar de Jacques Fontaine. En general, Fontaine prefirió no implicarse demasiado en los debates políticos e intelectuales de su tiempo, y eso explica que, a diferencia de su maestro Henri-Irénée Marrou por ejemplo, es poco conocido por los especialistas de la historia cultural de la Francia del siglo XX. No pretendo yo mismo ser un especialista en este campo, pero he encontrado pocas obras históricas que hablen de él. Sin embargo, se

Sources de la sentence eckhartienne Oculus intentio est Jacques Elfassi Je dois commencer cet art... more Sources de la sentence eckhartienne Oculus intentio est Jacques Elfassi Je dois commencer cet article par une captatio benevolentiae : je ne suis pas spécialiste de Maître Eckhart 1. Mon auteur de prédilection est plutôt Isidore de Séville. Mais c'est précisément en examinant les emprunts d'Eckhart à Isidore que j'ai découvert la sentence Oculus intentio est (« l'oeil est l'intention »), attribuée explicitement à l'évêque de Séville : Oculus intentio est, secundum Isidorum 2. Eckhart cite le même adage à cinq reprises au moins : dans le passage qui vient d'être cité, il l'assigne à Isidore, mais dans un autre texte, il attribue la même idée à Augustin ; enfin, dans une troisième occurrence, ce sont les éditeurs modernes qui proposent un rapprochement avec Grégoire le Grand. Quelle est donc la source de cette sentence ? S'agit-il même d'une source patristique ? 1. Textes patristiques Bien qu'ils soient peu nombreux, il est inutile de citer de manière exhaustive tous les textes patristiques qui associent oculus et intentio : je me limiterai aux trois auteurs qui sont susceptibles d'être connus d'Eckhart 3. a) Augustin Augustin est le premier, semble-t-il, à établir une équivalence entre oculus et intentio. C'est donc à lui que remontent, en dernière analyse, tous les textes patristiques ou médiévaux qui
Résumé : Cet article propose la liste des livres ou articles consacrés à Isidore de Séville et pu... more Résumé : Cet article propose la liste des livres ou articles consacrés à Isidore de Séville et publiés en 2018-2019, accompagnés d'un bref commentaire. La première partie comporte un complément aux cinq « Chroniques isidoriennes » parues précédemment dans Eruditio antiqua (travaux publiés en 2008-2017).
Abstract : This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2018-2019, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the five “Isidorian Chronicles” previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2017).
The few studies devoted to Ovid’s presence in Isidore of Seville (VIIth century) take as a starti... more The few studies devoted to Ovid’s presence in Isidore of Seville (VIIth century) take as a starting point the list, established in 1911 by W. M. Lindsay, of the fifteen quotations of the poet in the Etymologies; moreover, it is generally accepted, since an article published by J. Madoz in 1949, that Isidore did not have direct access to Ovid. However, since the 1980s, other borrowings from Ovid have been identified (or supposedly identified) in Isidore: this article proposes to review them, and even to propose some new parallels in the Versus in bibliotheca. These discoveries oblige to ask again if Isidore knew Ovid at first hand; I answer this question like J. Madoz: in the negative, but with new arguments.
Cet article montre qu'Isidore de Séville, Sent. II, 8, 2 est une réécriture de Grégoire le Grand,... more Cet article montre qu'Isidore de Séville, Sent. II, 8, 2 est une réécriture de Grégoire le Grand, Mor. XXIV, 6, 10-11. Les deux textes sont proches sur le fond, mais leur tonalité est différente : elle est plus sombre chez Isidore, qui insiste surtout sur les larmes et le péché.
Augustine of Hippo is the most quoted author by Isidore of Seville. Isidore uses Augustine in all... more Augustine of Hippo is the most quoted author by Isidore of Seville. Isidore uses Augustine in all his works, without exception, and he knows at least 53 of Augustine’s works. However, Augustine’s presence in Isidore has rarely been studied, probably because scholars were discouraged by the extent of the task. It was only in 2013 that J.C. Martín published two general surveys on the subject, but in spite of their richness they are very brief (four pages each). In this chapter, I outline some lines of research: I give some details about the works of Augustine known to Isidore and I examine some unexpected ways in which the Sevillian used the works of his predecessor.
Résumé : Cet article propose la liste des livres ou articles consacrés à Isidore de Séville et pu... more Résumé : Cet article propose la liste des livres ou articles consacrés à Isidore de Séville et publiés en 2016-2017, accompagnés d’un bref commentaire. La première partie comporte un complément aux trois « Chroniques isidoriennes » parues précédemment dans Eruditio antiqua (travaux publiés en 2008-2015).
Abstract : This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2016-2017, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the three “Isidorian Chronicles” previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2015).
Uploads
Books by Jacques Elfassi
J. F. Mesa Sanz, Presentación. I. «LATINITAS» MEDIEVAL. C. Cardelle de Hartmann, La moral del latín. Observaciones sobre la «latinitas» cristiana de Agustín a la Baja Edad Media. II. MUNDO VISIGÓTICO Y ESTUDIOS SOBRE SAN ISIDORO. P. F. Alberto, Poesía visigótica y escuela carolingia – J. Carracedo Fraga, Las fuentes del capítulo sobre los «uitia et uirtutes orationis» en el Ars grammatica de Julián de Toledo – R. Furtado, La Crónica de Eusebio-Jerónimo en Madrid, BHMV, Complutense 134 (ff. 2va-14vb) – M. A. Andrés Sanz, Transmisión y recepción altomedieval de las Differentiae isidorianas: nuevos apuntes. El De praedestinatione de Ratramno de Corbie – G. Botturi, Presenza di Giobbe nei Synonyma di Isidoro di Siviglia – J. Elfassi, Nuevas fuentes en la biblioteca de Isidoro de Sevilla – A. Simôes, Para una edición crítica de la Pasión de S. Julián (BHL 4529). III. TRADUCCIÓN EN EL MEDIOEVO LATINO. J. Martínez Gázquez, «Necessitas et utilitas» en las traducciones al latín en la Edad Media – S. Madrid Medrano, El Liber Philosophorum Moralium Antiquorum en el ms. 2697 de la Biblioteca Universitaria de Salamanca. IV. LATINIDAD MEDIVAL TARDÍA. SIGLOS XII AL XV. F. Santi, I nomi di Dio nella teologia di frontiera (sec. XII-XIII) – E. Pérez Rodríguez, Cantus in laudem Virginis. La poesía religiosa de Juan Gil de Zamora: sus consecuencias – M. Ángel Atanasio, El proyecto de sermonario completo de Juan Gil de Zamora, OFM – M. Mañas Núñez, El Ars brevis de Llull comentada por Cornelio Agrippa – C. López Alcalde, El Liber de Aduentu Messiae de Ramón Llull y la literatura «aduersus Iudaeos» del siglo XIII – C. Ferrero Hernández, Del códice matritense de Juan Diácono (s. XIII) a la leyenda hagiográfica de San Isidro Labrador. Lecturas, re-escrituras y polémicas – I. Figueiras, La reescritura de la Pasión hispánica de San Cucufate (BHL 1999 y 1998) – J. A. González Marrero, La navegación por las islas atlánticas a través de las Vitae Sanctorum Hiberniae – L. Pomer Monferrer, La traducción de sinónimos, anáforas y otros recursos estilísticos del De virginitate perpetua Sanctae Mariae de Ildefonso de Toledo: el Arcipreste de Talavera – M. Montoza Coca, El uso de Bernardo de Claraval como autoridad en los Sermones de Don Martín García – V. INQUISICIÓN MEDIEVAL. J. A. Barrio Barrio, Origen, desarrollo y evolución de los manuales de inquisidores en la Edad Media – M. A. Angelino Pardo, El Repertorium perutile de pravitate haereticorum et apostatarum de Miquel Albert en la tradición de la manualística inquisitorial medieval. VI. LATÍN MEDIEVAL CIENTIFICO. E. Montero Cartelle, Maleficios y esterilidad en la medicina medieval: las clases de remedios – E. Sánchez Salor, La doctrina quiromántica medieval recogida en un manual emparedado en Barcarrota (Badajoz) – R. Comes, El latín científico del siglo XII. Edición crítica del tratado De scientia stellarum. Traducción al latín de Plato Tiburtinus de «al-Ziy al-S.abi’» de al-Battani – A. Aguilera Felipe, Manuscritos de Pietro d’Abano en España: una reflexión. VII. EPIGRAFÍA MEDIEVAL. J. del Hoyo Calleja, Panorama de la epigrafía medieval hispana. Dificultades y propuestas – J. M. Escolà Tuset, Tòpics a la poesia epigràfica llatina de l’època medieval catalana – Á. Castresana López, Una inscripción hermética en el claustro románico de Santo Domingo de Silos: un díptico elegíaco inédito. VIII. LEXICOGRAFIA LATINA MEDIEVAL. M. A. Fornés Pallicer - M. Puig Rodríguez-Escalona, El interés extralingüístico del Glossarium Mediae Latinitatis Cataloniae – M. Punsola Munárriz - P. J. Quetglas - S. Allés Torrent, La edición digital del Glossarium Mediae Latinitatis Cataloniae (GMLC) – M. Moscone, Per un’edizione digitale della documentazione latina medievale di area portoghese: il progetto CODOLPOR – «Corpus Documentale Latinum Portucalense» – J. F. Mesa Sanz, Nuevas herramientas de la lexicografía latina medieval. Aproximación al estudio de las partículas conectivas. IX. ESTUDIOS DE DIACRONÍA. A. Hurtado Jiménez, Interferencias lingüísticas en un corpus documental del siglo XV – F. Gimeno Menéndez, Sociolingüística histórica: fundamentos de los protorromances hispanos – J. M. Antolí Martínez, De «similare» als derivats gal.loromànics: la subjectivació com a tendència del canvi semàntic en llatí tardà. X. DOCUMENTACIÓN DIPLOMÁTICA Y DIDÁCTICA. R. Cuellas Campodarbe†, «Quando intravimus Balagarium, liberavit nos de manibus sarracenorum». Noves reflexions al voltant de la conquesta de Balaguer i la concessió de la seva carta de poblament (1117-1122) – C. Goñi Buil - A. R. Pont, Latín medieval: instrumento didáctico en bachillerato. XI. DE OCCIDENTE A ORIENTE Y VICEVERSA. A. A. Nascimento, San Vicente de Valencia llevado a Lisboa: los avatares de un culto. IN MEMORIAM. HOMENAJE AL PROFESOR LUIS CHARLO BREA. M. Pérez González, Homenaje a Luis Charlo Brea – J. M. Maestre Maestre, Ludouico Charlo Brea sacrum – M. Pérez González, Características de la documentación diplomática del Monasterio de Sahagún – J. M. Maestre Maestre, Rasgos lingüísticos medievales del tratado Quinque articuli contra Iudaeos incorrectamente atribuido a Rodrigo Fernández de Santaella – A. Regagliolo, ÍNDICES.
Il n’est pas un simple répertoire : les 3 000 travaux référencés (jusqu’en avril 2009) et classés (« Répertoires », « Manuels », « Éditions de textes »…) sont intégrés dans une histoire des études hispaniques, des origines au début du xxe siècle à nos jours. Chaque notice est accompagnée de notes critiques destinées à orienter le lecteur sur l’intérêt littéraire, historique ou linguistique du document. Pour l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge est référencée la littérature latine composée dans l’ensemble de la Péninsule ibérique. Pour le Moyen Âge tardif, seule l’Espagne a été prise en compte.
Un manuel exceptionnel qui introduit à l’étude des sources hispano-latines de l’Antiquité tardive et à la philologie, la philosophie, et l’histoire du Moyen Âge.
Papers by Jacques Elfassi
Abstract : This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2018-2019, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the five “Isidorian Chronicles” previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2017).
Abstract : This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2016-2017, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the three “Isidorian Chronicles” previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2015).
J. F. Mesa Sanz, Presentación. I. «LATINITAS» MEDIEVAL. C. Cardelle de Hartmann, La moral del latín. Observaciones sobre la «latinitas» cristiana de Agustín a la Baja Edad Media. II. MUNDO VISIGÓTICO Y ESTUDIOS SOBRE SAN ISIDORO. P. F. Alberto, Poesía visigótica y escuela carolingia – J. Carracedo Fraga, Las fuentes del capítulo sobre los «uitia et uirtutes orationis» en el Ars grammatica de Julián de Toledo – R. Furtado, La Crónica de Eusebio-Jerónimo en Madrid, BHMV, Complutense 134 (ff. 2va-14vb) – M. A. Andrés Sanz, Transmisión y recepción altomedieval de las Differentiae isidorianas: nuevos apuntes. El De praedestinatione de Ratramno de Corbie – G. Botturi, Presenza di Giobbe nei Synonyma di Isidoro di Siviglia – J. Elfassi, Nuevas fuentes en la biblioteca de Isidoro de Sevilla – A. Simôes, Para una edición crítica de la Pasión de S. Julián (BHL 4529). III. TRADUCCIÓN EN EL MEDIOEVO LATINO. J. Martínez Gázquez, «Necessitas et utilitas» en las traducciones al latín en la Edad Media – S. Madrid Medrano, El Liber Philosophorum Moralium Antiquorum en el ms. 2697 de la Biblioteca Universitaria de Salamanca. IV. LATINIDAD MEDIVAL TARDÍA. SIGLOS XII AL XV. F. Santi, I nomi di Dio nella teologia di frontiera (sec. XII-XIII) – E. Pérez Rodríguez, Cantus in laudem Virginis. La poesía religiosa de Juan Gil de Zamora: sus consecuencias – M. Ángel Atanasio, El proyecto de sermonario completo de Juan Gil de Zamora, OFM – M. Mañas Núñez, El Ars brevis de Llull comentada por Cornelio Agrippa – C. López Alcalde, El Liber de Aduentu Messiae de Ramón Llull y la literatura «aduersus Iudaeos» del siglo XIII – C. Ferrero Hernández, Del códice matritense de Juan Diácono (s. XIII) a la leyenda hagiográfica de San Isidro Labrador. Lecturas, re-escrituras y polémicas – I. Figueiras, La reescritura de la Pasión hispánica de San Cucufate (BHL 1999 y 1998) – J. A. González Marrero, La navegación por las islas atlánticas a través de las Vitae Sanctorum Hiberniae – L. Pomer Monferrer, La traducción de sinónimos, anáforas y otros recursos estilísticos del De virginitate perpetua Sanctae Mariae de Ildefonso de Toledo: el Arcipreste de Talavera – M. Montoza Coca, El uso de Bernardo de Claraval como autoridad en los Sermones de Don Martín García – V. INQUISICIÓN MEDIEVAL. J. A. Barrio Barrio, Origen, desarrollo y evolución de los manuales de inquisidores en la Edad Media – M. A. Angelino Pardo, El Repertorium perutile de pravitate haereticorum et apostatarum de Miquel Albert en la tradición de la manualística inquisitorial medieval. VI. LATÍN MEDIEVAL CIENTIFICO. E. Montero Cartelle, Maleficios y esterilidad en la medicina medieval: las clases de remedios – E. Sánchez Salor, La doctrina quiromántica medieval recogida en un manual emparedado en Barcarrota (Badajoz) – R. Comes, El latín científico del siglo XII. Edición crítica del tratado De scientia stellarum. Traducción al latín de Plato Tiburtinus de «al-Ziy al-S.abi’» de al-Battani – A. Aguilera Felipe, Manuscritos de Pietro d’Abano en España: una reflexión. VII. EPIGRAFÍA MEDIEVAL. J. del Hoyo Calleja, Panorama de la epigrafía medieval hispana. Dificultades y propuestas – J. M. Escolà Tuset, Tòpics a la poesia epigràfica llatina de l’època medieval catalana – Á. Castresana López, Una inscripción hermética en el claustro románico de Santo Domingo de Silos: un díptico elegíaco inédito. VIII. LEXICOGRAFIA LATINA MEDIEVAL. M. A. Fornés Pallicer - M. Puig Rodríguez-Escalona, El interés extralingüístico del Glossarium Mediae Latinitatis Cataloniae – M. Punsola Munárriz - P. J. Quetglas - S. Allés Torrent, La edición digital del Glossarium Mediae Latinitatis Cataloniae (GMLC) – M. Moscone, Per un’edizione digitale della documentazione latina medievale di area portoghese: il progetto CODOLPOR – «Corpus Documentale Latinum Portucalense» – J. F. Mesa Sanz, Nuevas herramientas de la lexicografía latina medieval. Aproximación al estudio de las partículas conectivas. IX. ESTUDIOS DE DIACRONÍA. A. Hurtado Jiménez, Interferencias lingüísticas en un corpus documental del siglo XV – F. Gimeno Menéndez, Sociolingüística histórica: fundamentos de los protorromances hispanos – J. M. Antolí Martínez, De «similare» als derivats gal.loromànics: la subjectivació com a tendència del canvi semàntic en llatí tardà. X. DOCUMENTACIÓN DIPLOMÁTICA Y DIDÁCTICA. R. Cuellas Campodarbe†, «Quando intravimus Balagarium, liberavit nos de manibus sarracenorum». Noves reflexions al voltant de la conquesta de Balaguer i la concessió de la seva carta de poblament (1117-1122) – C. Goñi Buil - A. R. Pont, Latín medieval: instrumento didáctico en bachillerato. XI. DE OCCIDENTE A ORIENTE Y VICEVERSA. A. A. Nascimento, San Vicente de Valencia llevado a Lisboa: los avatares de un culto. IN MEMORIAM. HOMENAJE AL PROFESOR LUIS CHARLO BREA. M. Pérez González, Homenaje a Luis Charlo Brea – J. M. Maestre Maestre, Ludouico Charlo Brea sacrum – M. Pérez González, Características de la documentación diplomática del Monasterio de Sahagún – J. M. Maestre Maestre, Rasgos lingüísticos medievales del tratado Quinque articuli contra Iudaeos incorrectamente atribuido a Rodrigo Fernández de Santaella – A. Regagliolo, ÍNDICES.
Il n’est pas un simple répertoire : les 3 000 travaux référencés (jusqu’en avril 2009) et classés (« Répertoires », « Manuels », « Éditions de textes »…) sont intégrés dans une histoire des études hispaniques, des origines au début du xxe siècle à nos jours. Chaque notice est accompagnée de notes critiques destinées à orienter le lecteur sur l’intérêt littéraire, historique ou linguistique du document. Pour l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge est référencée la littérature latine composée dans l’ensemble de la Péninsule ibérique. Pour le Moyen Âge tardif, seule l’Espagne a été prise en compte.
Un manuel exceptionnel qui introduit à l’étude des sources hispano-latines de l’Antiquité tardive et à la philologie, la philosophie, et l’histoire du Moyen Âge.
Abstract : This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2018-2019, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the five “Isidorian Chronicles” previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2017).
Abstract : This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2016-2017, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the three “Isidorian Chronicles” previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2015).
Abstract : After examining the supposed parallels between the works of both authors, this article concludes that Isidore of Seville probably did not know Hyginus’ Fables. Such a conclusion may seem disappointing, but this survey allows for a detailed analysis of various Isidorian passages and even the identification of new sources of the Sevillian (the list is provided at the end of the article). Here are Isidore’s texts which are studied more especially: Chron. 62; Etym. III, 20 [21], 4; IX, 2, 47; XIV, 4, 1; XIV, 5, 1; XIV, 8, 17; XV, 1, 4-5; XV, 1, 7-8; XV, 1, 31; XVIII, 39; XIX, 8, 1; XIX, 19, 9; XX, 1, 1 and XX, 3 [4], 14; and HG 7-8.
Cet article recense et étudie tous les emprunts connus d’Isidore de Séville au De ecclesiae unitate de Cyprien (ch. 1-5, 9 et 17-19). Incidemment il signale aussi des emprunts à Augustin, doctr. chr. 3, 29, 40, et Jérôme, in Is. 4, 17 (v. 11, 11-14), et il montre qu’Isidore ne connaissait probablement pas le Contra Cresconium d’Augustin. Voici la liste des passages isidoriens analysés : eccl. off. 2, 5, 5 ; expos. in Gen. 31 ; expos. in Leu. 8, 1 ; expos. in Num. 15, 14-15 ; expos. in Num. 39 ; lib. num. 5 ; orig. 1, 5, 1 ; orig. 12, 4, 3 ; sent., 2, 18, 4 ; sent. 2, 36, 6 et sent. 3, 5, 8a.
Abstract:
This article identifies and studies all the known borrowings of Isidore of Seville from Cyprian’s De ecclesiae unitate (ch. 1-5, 9 and 17-19). Incidentally it mentions also borrowings from Augustine, doctr. chr. 3, 29, 40, and Jerome, in Is. 4, 17 (v. 11, 11-14), and it shows that Isidore probably did not know Augustine’s Contra Cresconium. Here is the list of the Isidorian passages which are analysed: eccl. off. 2, 5, 5; expos. in Gen. 31; expos. in Leu. 8, 1; expos. in Num. 15, 14-15; expos. in Num. 39; lib. num. 5; orig. 1, 5, 1; orig. 12, 4, 3; sent., 2, 18, 4; sent. 2, 36, 6 and sent. 3, 5, 8a.
This article proposes a list of the books or articles dedicated to Isidore of Seville and published in 2014-2015, together with a brief commentary. The first part contains a complement to the three "Isidorian Chronicles" previously issued in Eruditio antiqua (research works published in 2008-2013).
Seventy three reviews, published between 2000 and 2017, in the twelve following reviews : Archivum Latinitatis Medii Aevi (Bulletin du Cange), Bryn Mawr Classical Review, Compostelle, Eruditio Antiqua, Études littéraires africaines, Gnomon, Le Moyen Âge, Revue d’Histoire Ecclésiastique, Revue de Philologie, Revue des Études Augustiniennes, Revue des Études Latines and Revue Mabillon.
Après trois études principalement consacrées à Origène, le lecteur pourra découvrir un système de numérotation scripturaire proposé par Basile de Césarée, et, avec les Pères grecs, se demander ce qu’est devenu l’apôtre Mathias, ou encore si la notion de « prologue » johannique est pertinente. Lui sera alors présenté un parcours mettant en évidence la typologie du « Christ-Frère », puis une enquête sur la « chambre nuptiale » de Mt 25, 10. Les trois derniers chapitres portent sur le monde latin : l’usage des deutérocanoniques par Hilaire de Poitiers ; puis deux études, sur Augustin et Isidore de Séville, exploitant méthodiquement les citations bibliques.
Ainsi, ce recueil rassemble des études variées, qui donnent à voir les richesses de la lecture patristique des Ecritures et la diversité des méthodes modernes employées pour les mettre au jour. Nous sommes là au cœur des objectifs de Biblindex : entr’ouvrir, à l’aide des clefs que les Pères nous ont laissées, le livre scellé des Ecritures.