
Michael R Doyle
Dr. Michael R. Doyle is an associate professor at the Université Laval School of Architecture in the Faculty of Planning, Architecture, Art and Design. His main research and teaching interests in architecture and urbanism currently revolve around the following themes: the spectral and encoded nature of the person and milieu; algorithmic reasoning and abstraction in the production of architectural artefacts; the algorithmic handling of 'big data' (corpuses of images, text, urban forms, etc.); and synergies between architectural and computational programming and the questions they raise for 'authorship', 'authority' and 'mastership'.
Prior to joining the faculty of the Laval SoA in 2019, Michael worked as a researcher and lecturer at the Department for Architectural Theory and the Philosophy of Technics (ATTP) at the TU Wien in Austria, with whom he published an edited volume Ghosts of Transparency: Shadows Cast and Shadows Cast Out (Birkhäuser/deGruyter, 2019). His PhD work, which combined philosophy, geology, architecture, urbanism and spatial econometrics was conducted as part of the Deep City Project at the Laboratory for Environmental and Urban Economics (LEURE) at the Swiss Federal Institute of Technology (EPFL).
PhD in Architecture and the Sciences of the City (EPFL, Switzerland, 2016)
Master/Master of Science in Architecture (U. Laval, Canada, 2010/2011)
Bachelor of Science in Architecture (U. Cincinnati, USA, 2005)
Prior to joining the faculty of the Laval SoA in 2019, Michael worked as a researcher and lecturer at the Department for Architectural Theory and the Philosophy of Technics (ATTP) at the TU Wien in Austria, with whom he published an edited volume Ghosts of Transparency: Shadows Cast and Shadows Cast Out (Birkhäuser/deGruyter, 2019). His PhD work, which combined philosophy, geology, architecture, urbanism and spatial econometrics was conducted as part of the Deep City Project at the Laboratory for Environmental and Urban Economics (LEURE) at the Swiss Federal Institute of Technology (EPFL).
PhD in Architecture and the Sciences of the City (EPFL, Switzerland, 2016)
Master/Master of Science in Architecture (U. Laval, Canada, 2010/2011)
Bachelor of Science in Architecture (U. Cincinnati, USA, 2005)
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Teaching Documents by Michael R Doyle
Si notre clientèle est les résidents des quartiers riverains et les visiteurs à Boston, nos clients aubergistes sont des lieux-tenants, des personnages uniques et universels, indexant différents visages de la condition humaine contemporaine.
Nous penserons l’architecture de l’auberge comme le masque ou le visage de l’esprit de ce lieu que les personnages tiennent. Le forum sera un lieu où l’on pense ensemble, c’est-à-dire où visiteurs et résident reçoivent, stockent, traitent et émettent de l’information.
Le but de ce cours est d’élaborer le plan de recherche et de rédaction pour les mémoires (Sciences de l’architecture) et essais (Design urbain). L’objectif de la première moitié de la session est de se familiariser avec la recherche en architecture et les enjeux contemporains des sciences. Les étudiants développeront leurs questions de recherche, la problématique qui les intéresse, leur approche théorique et leurs objectifs de recherche. La deuxième moitié de la session se consacrera à élaborer la démarche pour répondre aux questions de recherche et se portera davantage sur des méthodes et leur contribution à augmenter la scientificité de la recherche.
Et si ce livre portait sur une autre maison, construite par un autre architecte ? Si elle avait été conçue pour quelqu’un d’autre ? Si on essayait de respecter la structure syntaxique du texte, les gestes sémantiques généraux, tout en le dotant de matière étrangère qui transforme sa signification ? Oui, on peut prendre n’importe quelle maison, mais prenons des maisons iconiques du XXe siècle. Oui, on peut prendre n’importe quel client, mais prenons des personnages qui donnent un visage aux grands enjeux de notre époque. Et de quoi parlerait-on dans cette maison, quels sujets de discussion l’hôte énigmatique proposerait-il ? Comment la maison se ferait-elle entendre ? Une personnalité propre de la maison pourrait-elle émerger des visages multiples du résident, des voix multiples des invités ?
L’atelier Temples temporels prendra les aspects concrets et abstraits du concours comme base de réflexion architectonique. Certains proposent de nommer notre ère géologique l’Anthropocène, car l’être humain depuis quelques siècles est devenu une force naturelle à l’échelle planétaire. Même après le départ éventuel de notre espèce, la terre se souviendra de notre passage. Elle se souvient déjà du passage de la vie qui nous a précédés. Elle garde en mémoire nos ancêtres et ceux de toute la vie sur terre. Notre relation au temps a changé depuis que la datation isotopique nous a permis de placer toute l’existence humaine dans une chronologie qui est celle, non d’une culture humaine en particulier, mais de l’univers. Ce temps profond nous offre enfin la possibilité de construire un grand récit incluant toute la biosphère sans exception.
Le livre Underland documente et raconte les voyages de son auteur dans les mondes souterrains urbains et naturels à travers la planète. Il nous rappelle en quoi cette relation fait brouiller la frontière entre la science et le mythe. Le mot « temps » conserve dans son étymologie latine l’idée d’une continuité discrète, c’est-à-dire d’une étendue finie, d’une unité et des unités. Ce double sens d’unité continue et d’unités discrètes gît comme un sédiment dans les profondeurs du mot « temple », qui signifie le lieu qui sert de frontière entre le profane et le sacré. Cet atelier vous invite à penser vos centres de recherche pléistocène comme des temples temporels où nous pouvons observer et étudier les traces du temps qui passe et qui se souvient, où la mémoire courte du témoin humain rencontre la mémoire longue des témoins fossiles.
Qui sont nos clients ? Ils se présentent sous le nom des Auberges des Lieux-Tenants. Ce ne sont pas des gens comme vous et moi. Ils ont des noms et des visages multiples : Hermès, Atlas, Pénélope, Biogée, Chérubin, Gaia, l’Arpenteur, le Récitant… Ils ont chacun quelque chose à dire sur l’espace, le temps et la vie, des thèmes intéressants non seulement pour quiconque attend l’avenir, mais aussi pour ceux qui veulent passer cette attente en ville. Ils nous demandent de leur construire ce qui s’appelle en suédois des värdshus. Si ce mot se traduit en français comme « auberge », il est un mot composé de « värd » qui signifie « hôte » et « hus » qui signifie « édifice » et aussi « maison ».
Les auberges que nous aurons à concevoir sont des lieux de transition entre l’intérieur et l’extérieur de la ville, entre le « local » et le « global ». Ils ne serviront pas à la simple fonction de se loger, mais seront des lieux où on raisonne, se souvient et imagine le type de lieu qui serait tenu par chaque aubergiste. Quelle forme prendra son auberge ? Qu’y ferait-on en plus de se loger ? Qu’est-ce qu’on y servirait, si c’était autre chose que de la nourriture ? Que partage-t-on avec autrui si ce n’est pas que des paroles ? Où se trouverait l’auberge à la ville de Knivsta ? Quelle sera sa relation avec la ville autour ? Quelles seront sa matérialité et la particularité de ses détails techniques ?
Nous ne serons pas les seuls « invités » à Knivsta. De futurs architectes de l’Université McGill et de l’Université de Montréal se pencheront à leur façon sur Knivsta. Par moments, on se rencontrera pour partager nos découvertes, nos réflexions et nos questionnements. Pourrons-nous vraiment aller en Suède ? Nous verrons au mois de mars.
Par l’étude des problématiques particulières au projet proposé, dans leurs aspects sociaux, culturels, fonctionnels, formels, techniques, environnementaux et réglementaires, l’atelier 6 vise la production du projet complet. Dans le cadre de cet atelier, nous privilégierions la réglementation québécoise et canadienne plutôt que celle de la Suède.
Une réponse à ses questions nous pose le défi d'articuler à travers la conception architecturale le nécessaire, le contingent, l'impossible et le possible. Dans une situation optimale, on trie l'impossible en refoulant le contingent, afin de préciser le nécessaire, avant de se lancer dans des hypothèses du possible. On attend le protocole (le programme) avant de procéder. On répond aux trois premières questions avant de passer aux trois autres. L'hypothèse de cet atelier est que la projection et le proto-cole profiteraient d'une réflexion parallèle, d'une boucle de rétroaction itérative, où la projection informe le proto-cole, où les nécessités naissent de la contingence.
Le but de cet atelier sera de concevoir un nouvel édifice regroupant les quatre écoles et leurs centres de recherche sur les sites qui accueillent actuellement les trois pavillons. Cela signifie effectivement que les édifices qui abritent actuellement notre Faculté n'existeront «bientôt» plus. Pour ne pas manquer de respect pour le patrimonial et l'histo-rique, notre premier exercice consistera à conserver les «mérites» de chacun des milieux physiques et sociaux dans lesquels les édifices s'inscrivent. Cet aspect « fantastique » (et orthogonal aux enjeux « réels ») permettra à l'atelier de traiter la relation paradoxale entre la poétique et la programmatique. Notre atelier conjuguera des exercices plutôt « classiques » (analyses de site, des systèmes méca-niques et constructifs, construction de maquettes, d'organi-sation sociospatiale) et ceux issus de la rhétorique épidic-tique (l'éloge) et de l'informatique (le protocole). Ce contexte permettra aux futur.e.s architectes de développer des compétences transversales en programmation et design.
L’objectif de cet atelier est de traduire une sélection d’icônes de l’architecture du XXe situées à Chicago en des bâtiments générés de façon paramétrique pour un site à Québec. Le processus de traduction servira d’une série de matrices relationnelles pour « coder » le bâtiment existant et sa situation sur le site actuel et le « décoder » sur le site à Québec. Les matrices étant d’un niveau d’abstraction plus élevé, le logiciel paramétrique servira à tester des hypothèses de traduction géométrique. Les machines de découpe et d’impression aideront à tester des hypothèses d’assemblage et de fabrication lors du décodage. Le projet étant itératif, la fabrication des prototypes influera sur les hypothèses géométriques élaborées à l’ordinateur.
Accompagné d’exposés ponctuels par le professeur sur les thèmes et concepts abordés, par un voyage d’une semaine à Chicago et épaulé par le laboratoire de fabrication numérique (le FabLab), l’atelier débutera avec un projet court pour rapidement expérimenter avec les techniques de codage et décodage, avec les matériaux de production et avec les logiciels et les outils numériques. Ensuite, les étudiants passeront au codage de leur projet « icône », mettant l’accent sur l’articulation des relations entre les espaces internes et externes, des relations d’ensoleillement et des éléments principaux de construction ou d’ornementation. En travaillant en des équipes de trois, les étudiants auront à concevoir et à fabriquer une maquette de leur icône « traduite » pour le site à Québec, et des coupes dessinées de neuf modules de fenestration «habitable».
Papers by Michael R Doyle
Si notre clientèle est les résidents des quartiers riverains et les visiteurs à Boston, nos clients aubergistes sont des lieux-tenants, des personnages uniques et universels, indexant différents visages de la condition humaine contemporaine.
Nous penserons l’architecture de l’auberge comme le masque ou le visage de l’esprit de ce lieu que les personnages tiennent. Le forum sera un lieu où l’on pense ensemble, c’est-à-dire où visiteurs et résident reçoivent, stockent, traitent et émettent de l’information.
Le but de ce cours est d’élaborer le plan de recherche et de rédaction pour les mémoires (Sciences de l’architecture) et essais (Design urbain). L’objectif de la première moitié de la session est de se familiariser avec la recherche en architecture et les enjeux contemporains des sciences. Les étudiants développeront leurs questions de recherche, la problématique qui les intéresse, leur approche théorique et leurs objectifs de recherche. La deuxième moitié de la session se consacrera à élaborer la démarche pour répondre aux questions de recherche et se portera davantage sur des méthodes et leur contribution à augmenter la scientificité de la recherche.
Et si ce livre portait sur une autre maison, construite par un autre architecte ? Si elle avait été conçue pour quelqu’un d’autre ? Si on essayait de respecter la structure syntaxique du texte, les gestes sémantiques généraux, tout en le dotant de matière étrangère qui transforme sa signification ? Oui, on peut prendre n’importe quelle maison, mais prenons des maisons iconiques du XXe siècle. Oui, on peut prendre n’importe quel client, mais prenons des personnages qui donnent un visage aux grands enjeux de notre époque. Et de quoi parlerait-on dans cette maison, quels sujets de discussion l’hôte énigmatique proposerait-il ? Comment la maison se ferait-elle entendre ? Une personnalité propre de la maison pourrait-elle émerger des visages multiples du résident, des voix multiples des invités ?
L’atelier Temples temporels prendra les aspects concrets et abstraits du concours comme base de réflexion architectonique. Certains proposent de nommer notre ère géologique l’Anthropocène, car l’être humain depuis quelques siècles est devenu une force naturelle à l’échelle planétaire. Même après le départ éventuel de notre espèce, la terre se souviendra de notre passage. Elle se souvient déjà du passage de la vie qui nous a précédés. Elle garde en mémoire nos ancêtres et ceux de toute la vie sur terre. Notre relation au temps a changé depuis que la datation isotopique nous a permis de placer toute l’existence humaine dans une chronologie qui est celle, non d’une culture humaine en particulier, mais de l’univers. Ce temps profond nous offre enfin la possibilité de construire un grand récit incluant toute la biosphère sans exception.
Le livre Underland documente et raconte les voyages de son auteur dans les mondes souterrains urbains et naturels à travers la planète. Il nous rappelle en quoi cette relation fait brouiller la frontière entre la science et le mythe. Le mot « temps » conserve dans son étymologie latine l’idée d’une continuité discrète, c’est-à-dire d’une étendue finie, d’une unité et des unités. Ce double sens d’unité continue et d’unités discrètes gît comme un sédiment dans les profondeurs du mot « temple », qui signifie le lieu qui sert de frontière entre le profane et le sacré. Cet atelier vous invite à penser vos centres de recherche pléistocène comme des temples temporels où nous pouvons observer et étudier les traces du temps qui passe et qui se souvient, où la mémoire courte du témoin humain rencontre la mémoire longue des témoins fossiles.
Qui sont nos clients ? Ils se présentent sous le nom des Auberges des Lieux-Tenants. Ce ne sont pas des gens comme vous et moi. Ils ont des noms et des visages multiples : Hermès, Atlas, Pénélope, Biogée, Chérubin, Gaia, l’Arpenteur, le Récitant… Ils ont chacun quelque chose à dire sur l’espace, le temps et la vie, des thèmes intéressants non seulement pour quiconque attend l’avenir, mais aussi pour ceux qui veulent passer cette attente en ville. Ils nous demandent de leur construire ce qui s’appelle en suédois des värdshus. Si ce mot se traduit en français comme « auberge », il est un mot composé de « värd » qui signifie « hôte » et « hus » qui signifie « édifice » et aussi « maison ».
Les auberges que nous aurons à concevoir sont des lieux de transition entre l’intérieur et l’extérieur de la ville, entre le « local » et le « global ». Ils ne serviront pas à la simple fonction de se loger, mais seront des lieux où on raisonne, se souvient et imagine le type de lieu qui serait tenu par chaque aubergiste. Quelle forme prendra son auberge ? Qu’y ferait-on en plus de se loger ? Qu’est-ce qu’on y servirait, si c’était autre chose que de la nourriture ? Que partage-t-on avec autrui si ce n’est pas que des paroles ? Où se trouverait l’auberge à la ville de Knivsta ? Quelle sera sa relation avec la ville autour ? Quelles seront sa matérialité et la particularité de ses détails techniques ?
Nous ne serons pas les seuls « invités » à Knivsta. De futurs architectes de l’Université McGill et de l’Université de Montréal se pencheront à leur façon sur Knivsta. Par moments, on se rencontrera pour partager nos découvertes, nos réflexions et nos questionnements. Pourrons-nous vraiment aller en Suède ? Nous verrons au mois de mars.
Par l’étude des problématiques particulières au projet proposé, dans leurs aspects sociaux, culturels, fonctionnels, formels, techniques, environnementaux et réglementaires, l’atelier 6 vise la production du projet complet. Dans le cadre de cet atelier, nous privilégierions la réglementation québécoise et canadienne plutôt que celle de la Suède.
Une réponse à ses questions nous pose le défi d'articuler à travers la conception architecturale le nécessaire, le contingent, l'impossible et le possible. Dans une situation optimale, on trie l'impossible en refoulant le contingent, afin de préciser le nécessaire, avant de se lancer dans des hypothèses du possible. On attend le protocole (le programme) avant de procéder. On répond aux trois premières questions avant de passer aux trois autres. L'hypothèse de cet atelier est que la projection et le proto-cole profiteraient d'une réflexion parallèle, d'une boucle de rétroaction itérative, où la projection informe le proto-cole, où les nécessités naissent de la contingence.
Le but de cet atelier sera de concevoir un nouvel édifice regroupant les quatre écoles et leurs centres de recherche sur les sites qui accueillent actuellement les trois pavillons. Cela signifie effectivement que les édifices qui abritent actuellement notre Faculté n'existeront «bientôt» plus. Pour ne pas manquer de respect pour le patrimonial et l'histo-rique, notre premier exercice consistera à conserver les «mérites» de chacun des milieux physiques et sociaux dans lesquels les édifices s'inscrivent. Cet aspect « fantastique » (et orthogonal aux enjeux « réels ») permettra à l'atelier de traiter la relation paradoxale entre la poétique et la programmatique. Notre atelier conjuguera des exercices plutôt « classiques » (analyses de site, des systèmes méca-niques et constructifs, construction de maquettes, d'organi-sation sociospatiale) et ceux issus de la rhétorique épidic-tique (l'éloge) et de l'informatique (le protocole). Ce contexte permettra aux futur.e.s architectes de développer des compétences transversales en programmation et design.
L’objectif de cet atelier est de traduire une sélection d’icônes de l’architecture du XXe situées à Chicago en des bâtiments générés de façon paramétrique pour un site à Québec. Le processus de traduction servira d’une série de matrices relationnelles pour « coder » le bâtiment existant et sa situation sur le site actuel et le « décoder » sur le site à Québec. Les matrices étant d’un niveau d’abstraction plus élevé, le logiciel paramétrique servira à tester des hypothèses de traduction géométrique. Les machines de découpe et d’impression aideront à tester des hypothèses d’assemblage et de fabrication lors du décodage. Le projet étant itératif, la fabrication des prototypes influera sur les hypothèses géométriques élaborées à l’ordinateur.
Accompagné d’exposés ponctuels par le professeur sur les thèmes et concepts abordés, par un voyage d’une semaine à Chicago et épaulé par le laboratoire de fabrication numérique (le FabLab), l’atelier débutera avec un projet court pour rapidement expérimenter avec les techniques de codage et décodage, avec les matériaux de production et avec les logiciels et les outils numériques. Ensuite, les étudiants passeront au codage de leur projet « icône », mettant l’accent sur l’articulation des relations entre les espaces internes et externes, des relations d’ensoleillement et des éléments principaux de construction ou d’ornementation. En travaillant en des équipes de trois, les étudiants auront à concevoir et à fabriquer une maquette de leur icône « traduite » pour le site à Québec, et des coupes dessinées de neuf modules de fenestration «habitable».
This special issue of Contour features contributions from a session chaired by Michael R. Doyle (U. Laval) and Diana Alvarez-Marin (ETH Zurich) as part of the Scaffolds symposium organized by the ALICE lab at the EPF Lausanne and held in Brussels in 2018.
Includes contributions from: Adil Bokhari (ETH Zurich), Emmanuelle Chiappone-Piriou (TU Wien), Diana Cristobal-Olave (Princeton), Nick Mols (U. Edinburgh) and Riccardo Villa (TU Wien).
Edit publication Underground Potential for Urban Sustainability: Mapping Resources and their Interactions with the Deep City Method See publication Underground Potential for Urban Sustainability: Mapping Resources and their Interactions with the Deep City Method
publication titleUnderground Potential for Urban Sustainability: Mapping Resources and their Interactions with the Deep City Method
publication descriptionIn the process of urban growth, the underground is often only addressed once all surface alternatives have been exhausted. Experience shows that this can lead to unforeseen conflicts (e.g., subsidence, groundwater pollution) and to lost opportunities (e.g., combined geothermal systems and building foundations or recycling of excavation materials). One challenge is how the underground potentials are assessed by urban actors; data collection, analysis and visualization for the different resources are often conducted in separate disciplinary corners and administrative divisions. This paper presents a mapping method developed within the Deep City project at the Swiss Federal Institute of Technology in Lausanne (EPFL) and its application to San Antonio, Texas. San Antonio is interesting in its lack of major underground infrastructure and its few means and political support for short-term underground development. We will specifically look at the production of a series of interaction maps, an original mapping strategy that is complementary to the resource potential maps we have produced in prior work. After situating this research within larger theoretical and philosophical questions, we will show how mapping the combined potentiality of underground resources can serve as a compass for future interdisciplinary discussions that address the urban underground as a source of opportunity, rather than as an afterthought.
publication descriptionSustainability
publication dateAug 25, 2016
Authors
Michael DoylePhilippe ThalmannAurèle Jean Parriaux
Edit publication From hydro/geology to the streetscape: Evaluating urban underground resource potential See publication From hydro/geology to the streetscape: Evaluating urban underground resource potential
publication titleFrom hydro/geology to the streetscape: Evaluating urban underground resource potential
publication descriptionDespite a persistent call for a greater recognition of the underground in urban planning practices, cities still tend to address underground resources only when the need arises. Historically, this has proven costly for cities that have neglected the potential synergies and conflicts between, for instance, urban aquifers and underground infrastructure systems or building foundations. For urban planning to remain in a paradigm of needs to resources risks rendering conflicts between urban underground activities irreversible and possible synergies unattainable. Researchers and practitioners from multiple disciplines argue for the many benefits of underground development—alternative renewable energy and drinking water sources, additional urban space and reusable geomaterials. Visualizing resource potential is a first step in raising awareness among planners of the capacities of the underground. Existing mapping methods tend to focus only on underground space development in contexts where the needs for the underground are already urgent and do not explicitly engage with the distribution of existing land uses. As an alternative to existing methods, this paper will present a procedure for mapping underground resource potential that incorporates four resources—space, groundwater, geothermal energy and geomaterials—developed by the Deep City project at the Swiss Federal Institute of Technology in Lausanne. San Antonio, Texas, a city with a complex relationship to an underground aquifer system but current little need and support for underground space, serves to illustrate the mapping method. Two future surface light rail and bus rapid transit lines, presented in recent planning reports, are examined in light of a latent but as yet untapped multi-resource underground potential. The paper concludes with a discussion of the applicability of the method to other cities and possible opportunities for improvement.
Complément 1 présente les cinq textes produits à la suite de cette rencontre. Chaque forme d’écriture est singulière, elle est propre à chacune des pratiques.
ISBN: 9782766304721
Les propositions de textes, entre 500 et 1000 mots, développeront une approche inédite d’une figure ou d’un personnage de l’urbain. La proposition esquissera la figure, les éléments bibliographiques pertinents et la longueur estimée du texte. La proposition est à envoyer avant le 3 juillet 2017 à [email protected]. Une réponse vous sera envoyée autour du 3 août 2017 et les papiers définitifs devront nous parvenir au plus tard le 3 novembre 2017.
This book is above all about architectonics and communication. What, you may ask, does this have to do with ar- chitecture and urbanism? Data and software are thought to reshape the city, while the word ‘architecture’ refers equally often to buildings and to the organization of computer software and hardware components. With this book, we want to cast a projective space that accommodates various Auseinandersetzungen (settings, or setting ups, articulated dispositions of grounds that are quarrelsome) with implicit and explicit mixtures of these two domains interpenetrating each other. Contributions are short enough to make a point, yet long enough to glimpse the great variety of ‘scales’ of abstractive contemplation that these points index.