
marie-laure allain bonilla
Trained in curatorial studies, I hold a PhD in contemporary art history from the University of Rennes 2 (France). I specialize in the history of exhibitions—my PhD dissertation highlights a history of the uses of postcolonial theories by curatorial practices in contemporary art since the 1980s. My current research concerns the strategies to decolonize institutional practices, particularly through collaborations, both in the West and in former colonized areas.
I have published on topics such as the biennial phenomenon (particularly the Johannesburg biennale), on museum and curatorial studies, as well as on contemporary art practices challenging Western prerogatives. I am a regular contributor to Critique d'Art. My last editorial project, Constellations subjectives : pour une histoire féministe de l’art, coedited with Émilie Blanc, Johanna Renard and Elvan Zabunyan (Éditions iXe, 2020), is a book of collected papers on feminist, queer, and decolonial approaches, both theoretical and artistic, in contemporary art. It especially includes translations into French of authors such as Griselda Pollock, Katy Deepwell, María Galindo from Mujeres Creando, María Dalida Benfield and the Diásporas Críticas.
I taught in the Visual Arts Department at the HEAD - Geneva from 2020 to 2023. My previous teaching experience was at University of Rennes 2, where I was involved in the Curatorial Studies Master program (2014-2015), and at the University of Basel where I did my post-doctoral research (2016-2017), and taught at the Urban Studies Department (2016-2017) and at the Seminar of Social Anthropology (2018).
Supervisors: Elvan Zabunyan
I have published on topics such as the biennial phenomenon (particularly the Johannesburg biennale), on museum and curatorial studies, as well as on contemporary art practices challenging Western prerogatives. I am a regular contributor to Critique d'Art. My last editorial project, Constellations subjectives : pour une histoire féministe de l’art, coedited with Émilie Blanc, Johanna Renard and Elvan Zabunyan (Éditions iXe, 2020), is a book of collected papers on feminist, queer, and decolonial approaches, both theoretical and artistic, in contemporary art. It especially includes translations into French of authors such as Griselda Pollock, Katy Deepwell, María Galindo from Mujeres Creando, María Dalida Benfield and the Diásporas Críticas.
I taught in the Visual Arts Department at the HEAD - Geneva from 2020 to 2023. My previous teaching experience was at University of Rennes 2, where I was involved in the Curatorial Studies Master program (2014-2015), and at the University of Basel where I did my post-doctoral research (2016-2017), and taught at the Urban Studies Department (2016-2017) and at the Seminar of Social Anthropology (2018).
Supervisors: Elvan Zabunyan
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PhD Dissertation by marie-laure allain bonilla
Co-edited Books by marie-laure allain bonilla
L’ouvrage retrace les enjeux épistémologiques de ces croisements. Les propositions théoriques et artistiques ici réunies déconstruisent les cloisonnements disciplinaires en considérant d’un point de vue intersectionnel les arts visuels, la performance, la littérature, l’architecture… Prenant acte du contexte globalisé, elles explorent des territoires culturels multiples – de l’Afrique du Sud à la Bolivie, en passant par le Canada, les États-Unis, la France, l’Inde, le Panama, la Russie, la Turquie, l’Ukraine.
Textes de Muriel Andrin, Clélia Barbut, Anne Creissels, Stéphanie Dadour, Dalida Maria Benfield, Katy Deepwell, Diasporas Criticas (Rebecca Close, Anyely Martin Cisneros et Veronica Lahitte), Fabienne Dumont, Mujeres Creando (Maria Galindo), Virginie Jourdain, Aurélie Journée, Melanie Klein, Dominique Malaquais, Liza Petiteau, Griselda Pollock et Nataliya Tchermalykh.
Traductions de Juliane Debeusscher et Meena Wolf-Zabunyan.
Exhibition catalogues by marie-laure allain bonilla
Cao su, « arbre qui pleure » en brésilien, désigne le bois d’hévéa dont est extrait le latex. Originaire du Brésil et importé par les colons en Asie du Sud et en Afrique, l’hévéa peut être appréhendé comme une métaphore des transplantations culturelles et sociales au sein d’espaces coloniaux et postcoloniaux.
Ces déplacements sont le fil rouge de l’ouvrage et transparaissent dans un entretien inédit de l’artiste et les nombreuses photographies issues de ses voyages récents au Vietnam et en Amazonie réalisés dans le cadre de ses recherches.
À travers leurs textes, Eva Barois de Caevel, Amanda de la Garza, Elvan Zabunyan et les étudiant-e-s du Master Métiers et arts de l'exposition (Université Rennes 2) dessinent une cartographie singulière de la pratique de Thu Van Tran.
LA ROUGE est une référence à la plantation Phu Riêng, dite « La Rouge », tant pour la révolte des saigneurs d’hévéa qui y a vu le jour en 1930, que pour la couleur de sa terre, teinte qui domine également les paysages de la plantation brésilienne de Fordlandia.
Book Chapters by marie-laure allain bonilla
Journal Articles by marie-laure allain bonilla
Participants to the seminar are: Rémy Bender, Sophie Conus, Sebastián Davila, Victor Delétraz, Mbaye Diop, Zahrasadat Hakim, Xheneta Imeri, Pierre-Kastriot Jashari, Federico Nipoli, María Fernanda Ordoñez Pinson, Clara Roumégoux, Alexandra Shéhérazade Salem, Alpha Sy, Arielle Tarzia, and Yul Tomatala.
L’ouvrage retrace les enjeux épistémologiques de ces croisements. Les propositions théoriques et artistiques ici réunies déconstruisent les cloisonnements disciplinaires en considérant d’un point de vue intersectionnel les arts visuels, la performance, la littérature, l’architecture… Prenant acte du contexte globalisé, elles explorent des territoires culturels multiples – de l’Afrique du Sud à la Bolivie, en passant par le Canada, les États-Unis, la France, l’Inde, le Panama, la Russie, la Turquie, l’Ukraine.
Textes de Muriel Andrin, Clélia Barbut, Anne Creissels, Stéphanie Dadour, Dalida Maria Benfield, Katy Deepwell, Diasporas Criticas (Rebecca Close, Anyely Martin Cisneros et Veronica Lahitte), Fabienne Dumont, Mujeres Creando (Maria Galindo), Virginie Jourdain, Aurélie Journée, Melanie Klein, Dominique Malaquais, Liza Petiteau, Griselda Pollock et Nataliya Tchermalykh.
Traductions de Juliane Debeusscher et Meena Wolf-Zabunyan.
Cao su, « arbre qui pleure » en brésilien, désigne le bois d’hévéa dont est extrait le latex. Originaire du Brésil et importé par les colons en Asie du Sud et en Afrique, l’hévéa peut être appréhendé comme une métaphore des transplantations culturelles et sociales au sein d’espaces coloniaux et postcoloniaux.
Ces déplacements sont le fil rouge de l’ouvrage et transparaissent dans un entretien inédit de l’artiste et les nombreuses photographies issues de ses voyages récents au Vietnam et en Amazonie réalisés dans le cadre de ses recherches.
À travers leurs textes, Eva Barois de Caevel, Amanda de la Garza, Elvan Zabunyan et les étudiant-e-s du Master Métiers et arts de l'exposition (Université Rennes 2) dessinent une cartographie singulière de la pratique de Thu Van Tran.
LA ROUGE est une référence à la plantation Phu Riêng, dite « La Rouge », tant pour la révolte des saigneurs d’hévéa qui y a vu le jour en 1930, que pour la couleur de sa terre, teinte qui domine également les paysages de la plantation brésilienne de Fordlandia.
Participants to the seminar are: Rémy Bender, Sophie Conus, Sebastián Davila, Victor Delétraz, Mbaye Diop, Zahrasadat Hakim, Xheneta Imeri, Pierre-Kastriot Jashari, Federico Nipoli, María Fernanda Ordoñez Pinson, Clara Roumégoux, Alexandra Shéhérazade Salem, Alpha Sy, Arielle Tarzia, and Yul Tomatala.