Papers by abdulraheem oyekan
Academy of Management Review, 1996
The article reviews the book “The Rise and Fall of Strategic Planning,” by Henry Mintzberg.
One of North America's more prominent organizational researchers, Henry Mintzberg, looks at the h... more One of North America's more prominent organizational researchers, Henry Mintzberg, looks at the history of strategic planning as it has been practiced in organizations, noting its many and deep failures. And suggesting ways in which it can yet be a tremendous asset to organizations. In spite of the provocative title Mintzberg applied to the book, he does not saying strategic planning is dead; rather that it has been misapplied.

José Ortega y Gasset (1883-1955) philosophe, sociologue, essayiste, homme de presse et homme poli... more José Ortega y Gasset (1883-1955) philosophe, sociologue, essayiste, homme de presse et homme politique espagnol. Il a consacré à la traduction l´essai Miseria y Esplendor de la traducción (1937), pendant son exil en Argentine. Ce texte a été publié dans un premier temps par « épisodes » dans le quotidien La Nación de Buenos Aires, et ensuite, en version intégrale, dans les oeuvres complètes de l´auteur (J. Ortega y Gasset, « Miseria y esplendor de la traducción », Obras completas, Madrid, Revista de Occidente, 1961, Tome V, pp. 433-452.) «Traduire n´est-il pas un désir irrémédiablement utopique ? Je m´approche chaque jours de plus de l´idée que tout ce que l´homme fait est une utopie. Dans le champs intellectuel, il n´y a pas de tâche plus humble (que celle du traducteur) et malgré cela, plus immense. Que fera le traducteur avec le texte rebelle ? Il renfermera l´écrivain traduit dans la prison du langage normal, donc il le trahira. Traduttore, traditore.» (NERGAARD, Siri, 1993, p. 181-183) Approches et modèles de la traduction (GUIDÈRE, 2010)

EN FRANÇAIS ET EN TURC Résumé: Ce travail, qui a pour objectif d'étudier les procédés de traducti... more EN FRANÇAIS ET EN TURC Résumé: Ce travail, qui a pour objectif d'étudier les procédés de traduction de Jean Paul Vinay et Jean Darbelnet dont les théories sont en principe basées sur l'équivalence, est une étude de traduction comparée. Notre but est d'étudier le fonctionnement de l'équivalence entre le texte source et le texte cible afin de constater les rapports sémantiques dans l'activité traduisante. De cette façon, nous avons analysé et expliqué les termes de traductologie proposés par Vinay et Darbelnet en ce qui concerne les définitions et les classifications prises en compte à partir de nombreux exemples comparés sans contexte précisé pour tenter d'y appliquer les principes de traduction de Vinay et Darbelnet. De façon que nous pouvons aisément dire que nous avons constaté que les procédés de traduction qui ont été définis et classés par J.-P. Vinay et J. Darbelnet sont indispensables dans l'activité traduisante.

Actuellement, la maitrise d'une langue étrangère est une compétence capitale. D'une part, parce q... more Actuellement, la maitrise d'une langue étrangère est une compétence capitale. D'une part, parce que le temps d'aujourd'hui est à la mondialisation, et d'autre part, l'aptitude à parler une langue étrangère est le gage d'une accession rapide dans le domaine professionnel et scientifique. Par ailleurs, le cas du français en Algérie est encore plus éloquent quant à la nécessité de sa maitrise. Non seulement il facilite l'insertion dans le marché du travail, mais il est de surcroît profondément ancré dans la société, ce qui lui confère un statut particulier. Cela transparait à travers l'école (apprentissage du français dès la troisième année primaire), l'Université (enseignement des filières scientifiques en français), les médias (il y a autant de journaux francophones qu'arabophones), et même la culture. D'où l'importance de son acquisition. Et c'est cela qui nous a mené à nous intéresser aux étudiants de français langue étrangère. Lesdits étudiants doivent donc se doter d'une maîtrise conséquente dans cette langue afin d'être compétitifs à la fois sur le plan scientifique (continuation du cursus et recherche universitaire), que sur la plan professionnel (enseignement). Et cette compétence n'est pas due seulement au volume horaire ou à la densité du programme, mais également à l'adaptation du système éducatif universitaire aux donnes des nouvelles technologies. En effet, les TIC s'imposent de plus en plus comme des outils indispensables pour la diffusion des savoirs et du savoir linguistique, et surtout comme un moteur de motivations qui influent nécessairement sur la compétence langagière. Maints études tendent à démonter que les étudiants qui ont recours aux TIC (réseaux sociaux, forums ou blogs par exemple) et qui partagent les informations, les discutent, les refusent ou les acceptent, avantagent l'aspect communicationnel, efficace pour l'acquisition d'une langue. Subséquemment, cette interactivité développe une motivation indéniable (Bracewell et Laferrière, 1996). Cependant, il serait très hâtif de déclarer de manière systématique le rôle positif des TIC dans l'acquisition d'une langue. Leur intégration par les apprenants et les enseignants doit être vue de près et mieux analysée. D'où notre problématique : l'utilisation des TIC par les étudiants du FLE dans l'apprentissage et spontanément est-elle efficiente quant à l'acquisition des savoirs et le développement des compétences linguistiques des étudiants ?

A cote des approches qui designent une orientation generale des etudes a partir d´un point de vue... more A cote des approches qui designent une orientation generale des etudes a partir d´un point de vue disciplinaire particulier (linguistique, semiotique, pragmatique, communicationnel...), on trouve un certain nombre de theories specifiques a la traduction. Les theories de la traduction sont des constructions conceptuelles qui servent a decrire, a expliquer ou a modeliser le texte traduit ou le processus de traduction. Meme si elles peuvent s´inspirer des cadres conceptuels existants, elles presentent la particularite d´etre exclusives, c´est-a-dire de proposer une reflexion centree uniquement sur la traduction. Tandis que les approches de la traduction tendent a rattacher la traduction a des disciplines instituees, ces theories veulent renforcer l´autonomie et l´independance de la traductologie. La nature meme de la traduction fait de la traductologie le champ des etudes interdisciplinaires. (Guidere, 2010 : 41-77) LES THÉORIES DE LA TRADUCTION Si nous considerons la correspondance entre les unites de traduction et les mots du texte, trois cas peuvent se presenter : -unités simples : chacune d´elle correspond a un seul mot. C´est evidemment le cas le plus simple et le plus frequent. Dans la phrase : ≪ il gagne cinq mille dollars ≫, il y a autant d´unites que de mots et on peut remplacer chaque mot separement sans changer la contexture de la phrase. Ex. ≪ Elle recoit trois cent francs ≫.
Educational psychology is important because it trains teachers to watch for different learning si... more Educational psychology is important because it trains teachers to watch for different learning situations, and how to adapt to those situations accordingly. By studying the ability, interests, intelligence and needs of students, teachers are able to adapt material to improve the learning experience and process.

Epistemology Epistemology is the study of knowledge. Epistemologists concern themselves with a nu... more Epistemology Epistemology is the study of knowledge. Epistemologists concern themselves with a number of tasks, which we might sort into two categories. First, we must determine the nature of knowledge; that is, what does it mean to say that someone knows, or fails to know, something? This is a matter of understanding what knowledge is, and how to distinguish between cases in which someone knows something and cases in which someone does not know something. While there is some general agreement about some aspects of this issue, we shall see that this question is much more difficult than one might imagine. Second, we must determine the extent of human knowledge; that is, how much do we, or can we, know? How can we use our reason, our senses, the testimony of others, and other resources to acquire knowledge? Are there limits to what we can know? For instance, is some things unknowable? Is it possible that we do not know nearly as much as we think we do? Should we have a legitimate worry about skepticism, the view that we do not or cannot know anything at all? Understood more broadly, epistemology is about issues having to do with the creation and dissemination of knowledge in particular areas of inquiry.

Avant de parler du contact des langues et des phénomènes qui en résultent, il est utile de présen... more Avant de parler du contact des langues et des phénomènes qui en résultent, il est utile de présenter, tout d'abord, une définition globalisante. En effet, selon Dubois & Al, le contact des langues est «l'événement concret qui provoque le bilinguisme ou en pose les problèmes. Le contact de langues peut avoir des raisons géographiques : aux limites de deux communautés linguistiques, les individus peuvent être amenés à circuler et à employer ainsi leur langue maternelle, tantôt celle de la communauté voisine. C'est là, notamment, le contact de langues des pays frontaliers... Mais il y a aussi contact de langues quand un individu, se déplaçant, par exemple, pour des raisons professionnelles, est amené à utiliser à certains moments une autre langue que la sienne. D'une manière générale, les difficultés nées de la coexistence dans une région donnée (ou chez un individu) de deux ou plusieurs langues se résolvent par la commutation ou usage alterné, la substitution ou utilisation exclusive de l'une des langues après élimination de l'autre ou par amalgame, c'est-à-dire l'introduction dans des langues de traits appartenant à l'autre...» Une deuxième définition est donnée par Hamers. Pour l'auteure, « le contact des langues inclut toute situation dans laquelle une présence simultanée de deux langues affecte le comportement langagier d'un individu » (Hamers, in Moreau, p94). Ainsi, la présence de deux codes linguistique dans une situation lesquelles peuvent avoir une incidence sur le comportement langagier des locuteurs est une situation de contact de langues. Le premier chercheur à avoir utilisé le terme de « contact des langues » est Weinreich (1953). Selon lui le contact des langues a d'abord lieu chez l'individu. Il oppose, de ce fait, la notion de contact de langue à celle de bilinguisme dans la mesure où le contact de langues renvoie à un état individuel (l'usage alternatif de deux langue) alors que le bilinguisme renvoie à la présence de deux (ou plusieurs langues) dans de la société. Hamers définit l'emprunt comme« un mot, un morphème ou une expression qu'un locuteur ou une communauté emprunte à une autre langue, sans le traduire » (Hamers, in Moreau, 1997 : 136). Dans cette définition Hamers explique les différentes formes d'un emprunt, selon elle, les segments empruntés sont souvent limités au lexique et peuvent être un morphème, un mot et même une expression à condition que ce segment ne soit pas traduit, c'est-à-dire pris tel qu'il est. Dubois et Al soulignent qu'il y a emprunt linguistique« quand un parler A utilise et finit par intégrer une unité ou un trait linguistique qui existait précédemment dans un parler B (dit langue source) et que A ne possédait pas ; l'unité ou le trait emprunte sont eux-mêmes qualifies d `emprunts. » les auteurs précisent que c'est le besoin qui conduit une langue à pendre un trait ou unité lexicale dans une deuxième langue, chose qui donne lieu à l'emprunt. Un autre phénomène résultant du contact entre les langues est le code mixing défini par Hamers et Blanc (1989 : 455) comme « une stratégie de communication (...) il est caractérisé par le transfert d'éléments d'une langue Ly dans la langue de base Lx ; dans l'énoncé mixte qui en résulte on peut distinguer des segments unilingues de Lx alternant avec des éléments de Lx qui font appel à des règles des deux codes ». Les deux auteurs considèrent le mélange de codes comme une stratégie de communication dans laquelle un locuteur transfère un élément d'une langue dans la langue de base de son énoncé. Ce transfert fait appel aux règles grammaticales des deux langues. Les auteurs ajoutent « A la différence de l'emprunt, généralement limité à des unités lexicales, le mélange de codes transfère des éléments à des unités appartenant à tous les niveaux linguistiques et pouvant aller de l'item lexical à la phrase entière ; si bien qu'à la limite, il n'est pas toujours de distinguer le code-mixing du code-switching ». Les deux linguistes distinguent d'abord entre l'emprunt qui est limité à des unités lexicales, et le code-mixing où l'on peut transférer toute les unités linguistiques sans exception aucune. Ils avancent toutefois qu'il
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