
Enoch Kokongo
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Papers by Enoch Kokongo
Drafts by Enoch Kokongo
un sérieux problème celui de la responsabilité de protéger par l’Etat centrafricain. Car on
assiste à une montée en puissance des groupes armés malgré la sanction et que l’Etat ne peut
intervenir faute des moyens et du fait de la sanction d’embargo sur les armes.
Cette étude se focalise d’une part sur l’importance de la sanction mas tout en
précisant ses effets secondaires sur la responsabilité de protéger par l’Etat centrafricain. Ce
qui nous conduit à donner certaines pistes permettant d’éviter d’une part que la sanction
d’embargo soit une entrave à la réalisation du devoir de la R2P par un Etat sous sanction
d’embargo sur les armes tel qu’il en est de la République centrafricaine qui a de la peine à
répondre à cette obligation régalienne.
Certes, les efforts déployés par les Nations Unies pour le maintien de la paix en
Centrafrique sont louables, mais il se pose cependant avec acquitté la question des effets de
la sanction d’embargo sur les armes surtout de son renouvellement qui constitue une entrave
à la notion de l’obligation de protéger.
En effet, la problématique du retour à l’ordre constitutionnel et démocratique soulevé par l’implication des Nations Unies en République Centrafricaine couvrant la période allant de 2003 à 2014 pose avec délicatesse la question liée, d’une part au fondement juridique et les objectifs visés par les Nations Unies, et d’autre part à celle de l’effectivité des actions onusiennes qui suscitent par ailleurs des défis majeurs à relever audit retour.
Cette étude se focalise d’une part sur le fondement juridique de l’implication des Nations Unies en République Centrafricaine qui est un Etat souverain et par conséquent le principe du droit d’ingérence promu par le droit humanitaire international ne saurait avoir son sens dans le cadre de notre étude que par l’analyse dudit fondement et les moyens d’intervention des Nations Unies. Et d’autre part sur l’analyse de l’implication des Nations Unies dans le processus du retour à l’ordre constitutionnel et démocratique qui a terme doit être réalisée avec succès. Ce qui nécessite une analyse de l’impact de l’implication des Nations Unies dans ledit processus.
Certes, les efforts déployés par les Nations Unies pour un retour à l’ordre constitutionnel et démocratique en Centrafrique ont été louables, mais il se pose cependant avec acquitté la question de sa pérennisation d’où la persistance des défis à relever et de certaines recommandations.
un sérieux problème celui de la responsabilité de protéger par l’Etat centrafricain. Car on
assiste à une montée en puissance des groupes armés malgré la sanction et que l’Etat ne peut
intervenir faute des moyens et du fait de la sanction d’embargo sur les armes.
Cette étude se focalise d’une part sur l’importance de la sanction mas tout en
précisant ses effets secondaires sur la responsabilité de protéger par l’Etat centrafricain. Ce
qui nous conduit à donner certaines pistes permettant d’éviter d’une part que la sanction
d’embargo soit une entrave à la réalisation du devoir de la R2P par un Etat sous sanction
d’embargo sur les armes tel qu’il en est de la République centrafricaine qui a de la peine à
répondre à cette obligation régalienne.
Certes, les efforts déployés par les Nations Unies pour le maintien de la paix en
Centrafrique sont louables, mais il se pose cependant avec acquitté la question des effets de
la sanction d’embargo sur les armes surtout de son renouvellement qui constitue une entrave
à la notion de l’obligation de protéger.
En effet, la problématique du retour à l’ordre constitutionnel et démocratique soulevé par l’implication des Nations Unies en République Centrafricaine couvrant la période allant de 2003 à 2014 pose avec délicatesse la question liée, d’une part au fondement juridique et les objectifs visés par les Nations Unies, et d’autre part à celle de l’effectivité des actions onusiennes qui suscitent par ailleurs des défis majeurs à relever audit retour.
Cette étude se focalise d’une part sur le fondement juridique de l’implication des Nations Unies en République Centrafricaine qui est un Etat souverain et par conséquent le principe du droit d’ingérence promu par le droit humanitaire international ne saurait avoir son sens dans le cadre de notre étude que par l’analyse dudit fondement et les moyens d’intervention des Nations Unies. Et d’autre part sur l’analyse de l’implication des Nations Unies dans le processus du retour à l’ordre constitutionnel et démocratique qui a terme doit être réalisée avec succès. Ce qui nécessite une analyse de l’impact de l’implication des Nations Unies dans ledit processus.
Certes, les efforts déployés par les Nations Unies pour un retour à l’ordre constitutionnel et démocratique en Centrafrique ont été louables, mais il se pose cependant avec acquitté la question de sa pérennisation d’où la persistance des défis à relever et de certaines recommandations.