Papers by Abdellatif Keddad
Batna Journal of Medical Sciences, Nov 9, 2020
Batna Journal of Medical Sciences, Dec 30, 2015
The Korean Society Of Wood Science & Technology, May 1, 2005

ASJP, Jun 30, 2017
L'objectif de cette étude est d'identifier quels sont les principaux déterminants... more L'objectif de cette étude est d'identifier quels sont les principaux déterminants des coûts de la prescription sur la base de l'exploitation des ordonnances reçues dans le cadre du tiers payant (ordonnances remboursables par la sécurité sociale), et archivées, au niveau d'une officine pharmaceutique privée de la ville de Batna en Algérie. Ce travail a révélé que les prescriptions hospitalières reçues en officine ont un coût plus élevé de 4,59% que celles issues du secteur ambulatoire privé du fait que la sécurité sociale n'autorise la prescription de certains produits que par les praticiens spécialistes hospitaliers. Si on ne prend pas en compte les produits chers, la tendance est inversée : les ordonnances du secteur privé ont un coût plus élevé que celles du secteur public. Le paramètre âge augmente le coût des prescriptions avec un prix moyen de 7 171,49 dinars algériens par ordonnance pour les plus de 40 ans contre un prix moyen de 6 923,39 pour l'ensemble de la population. Les ordonnances destinées aux traitements des maladies chroniques ont été 8,3 fois plus élevées que celles des traitements aigus, alors que la classe oncologie s'est avérée être la plus chère avec une moyenne de 24 398 DA par ordonnance.

Batna journal of medical sciences, Dec 30, 2012
Il s'agit d'un article en libre accès distribué selon les termes de la licence Creative Commons A... more Il s'agit d'un article en libre accès distribué selon les termes de la licence Creative Commons Attribution International License (CC BY 4.0), qui autorise une utilisation, une distribution et une reproduction sans restriction sur tout support ou format, à condition que l'auteur original et la revue soient dûment crédités. _____________________________________ RÉSUMÉ Introduction : les risques liés aux médicaments sont relativement élevés et constituent un sujet de préoccupation majeure dans les soins médicaux. Une grande partie des événements iatrogènes médicamenteux sont évitables et surviennent surtout au stade de prescription dont une grande partie est causée par les interactions. L'objectif de l'étude est d'estimer la prévalence des interactions et de les décrire selon le niveau de contrainte, par type de prescripteur et par secteur d'activité. Matériels et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective incluant toutes les ordonnances comportant au moins deux médicaments, archivées au niveau d'une officine pharmaceutique de la ville de Batna de juillet 2013 à juillet 2014 dans le cadre du tiers payant. Les données ont été recueillies et enregistrées sur fichier Excel. La recherche des interactions s'est faite sur Thériaque ®. Résultats : 2801 ordonnances ont été analysées dont 1973 (70,44%) provenaient du secteur privé. L'étude a totalisé 11 329 lignes de prescription avec une moyenne de 4,04 lignes par ordonnance avec des extrêmes allant de 2 à 14 lignes. 39,3% des prescriptions étaient rédigées par des médecins généralistes, majoritairement du secteur privé (55,4%). On a recensé 1987 interactions (0,71 interaction par ordonnance) avec une nette prédominance du secteur privé (76,6%). 94,5% étaient de niveau à prendre en compte et précaution d'emploi et seulement 5,08% d'associations déconseillées et 0,45% contre-indiquées. Enfin, l'analyse statistique a révélé que le nombre de lignes est un facteur de risque de survenue des interactions. Mots clés : officine ; prescriptions ; interactions médicamenteuses ; analyse d'ordonnances.

Batna Journal of Medical Sciences (BJMS)
Pharmaceutical practice around the world has much changed. It progressed from simple delivery of ... more Pharmaceutical practice around the world has much changed. It progressed from simple delivery of medicines with advice during the last decade to a more active role including notions of responsibility for results of engaged therapies and the delivery of services. The world health organization (WHO), along with the International Pharmaceutical Federation (IPF), made a study of this problem in order to set up orientations that may allow the health ally professional who is the pharmacist, to better answer the care requirements of the population and better control the cost of drugs. In Algeria, where the pharmacist outcome is essentially indexed on the commercial margin, the issue is more specific. In fact, through a progressive reduction of the purchasing power of the pharmacists since 1998, the commercial activity has largely replaced the activity linked to public health, calling into question the utility of the dispensary pharmacist as a health actor in society. It would appear to be ...

Batna Journal of Medical Sciences (BJMS)
L’objectif de cette étude est d’identifier quels sont les principaux déterminants des coûts de la... more L’objectif de cette étude est d’identifier quels sont les principaux déterminants des coûts de la prescription sur la base de l’exploitation des ordonnances reçues dans le cadre du tiers payant (ordonnances remboursables par la sécurité sociale), et archivées, au niveau d’une officine pharmaceutique privée de la ville de Batna en Algérie. Ce travail a révélé que les prescriptions hospitalières reçues en officine ont un coût plus élevé de 4,59% que celles issues du secteur ambulatoire privé du fait que la sécurité sociale n’autorise la prescription de certains produits que par les praticiens spécialistes hospitaliers. Si on ne prend pas en compte les produits chers, la tendance est inversée : les ordonnances du secteur privé ont un coût plus élevé que celles du secteur public. Le paramètre âge augmente le coût des prescriptions avec un prix moyen de 7 171,49 dinars algériens par ordonnance pour les plus de 40 ans contre un prix moyen de 6 923,39 pour l’ensemble de la population. Les ...

Une politique de maitrise des depenses de sante a ete menee depuis plusieurs annees. Elle a porte... more Une politique de maitrise des depenses de sante a ete menee depuis plusieurs annees. Elle a porte beaucoup plus sur la regulation de la demande. La composante offre a ete quasiment occultee. Dans cet article, on s’interesse a un des elements de l’offre a savoir le medecin, premier ordonnateur des depenses de sante. Notre objectif est d’analyser les determinants du cout de la prescription medicamenteuse et les facteurs associes. Pour ce faire, une etude quantitative a ete realisee en s’appuyant sur l’exploitation d’une base de donnees de 3 143 ordonnances constituee au niveau d’une officine pharmaceutique privee de la ville de Batna (Algerie). Une analyse econometrique a ete menee en mobilisant deux types de modelisation : des modeles lineaires par moindres carres ordinaires et des modeles de choix discret, plus precisement des modeles logit par maximum de vraisemblance. Nos resultats montrent que le cout total des ordonnances prescrites par les specialistes est plus eleve que celui ...

Les maladies infectieuses représentaient en 2007, en Algérie 4,58% du motif des consultations. La... more Les maladies infectieuses représentaient en 2007, en Algérie 4,58% du motif des consultations. La prévalence des patients hospitalisés traités par anti infectieux (AI) dans le pays était de 45,5% en 2015. L’objectif de cette étude était la description des prescriptions contenant des anti infectieux (AI), sur la base d’une analyse rétrospective des ordonnances remboursables par la sécurité sociale, reçues au niveau d’une officine pharmaceutique privée de la ville de Batna (Algérie) sur une période d’une année allant de juillet 2013 à juin 2014. L’étude a montré qu’environ une ordonnance sur trois contenait au moins une ligne d’AI et que ceux-ci avaient représenté 13,1% de l’ensemble des médicaments prescrits toutes classes pharmaco thérapeutiques confondues. Si les plus gros prescripteurs en volume ont été les médecins généralistes (51,4% des ordonnances), les AI avaient occupé chez les chirurgiens dentistes 1 ligne sur 2. Le profil de ces prescriptions dans le temps a mis en évidenc...

Batna Journal of Medical Sciences, 2020
Les maladies infectieuses représentaient en 2007, en Algérie 4,58% du motif des consultations. La... more Les maladies infectieuses représentaient en 2007, en Algérie 4,58% du motif des consultations. La prévalence des patients hospitalisés traités par anti infectieux (AI) dans le pays était de 45,5% en 2015. L'objectif de cette étude était la description des prescriptions contenant des anti infectieux (AI), sur la base d'une analyse rétrospective des ordonnances remboursables par la sécurité sociale, reçues au niveau d'une officine pharmaceutique privée de la ville de Batna (Algérie) sur une période d'une année allant de juillet 2013 à juin 2014. L'étude a montré qu'environ une ordonnance sur trois contenait au moins une ligne d'AI et que ceux-ci avaient représenté 13,1% de l'ensemble des médicaments prescrits toutes classes pharmaco thérapeutiques confondues. Si les plus gros prescripteurs en volume ont été les médecins généralistes (51,4% des ordonnances), les AI avaient occupé chez les chirurgiens dentistes 1 ligne sur 2. Le profil de ces prescriptions dans le temps a mis en évidence 2 pics maximaux d'AI systémiques en saison froide à savoir mars et octobre. C'est la famille des pénicillines qui occupe avec 32,6% des lignes d'AI, le haut du tableau des produits les plus prescrits dans cette classe.
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LE MÉDICAMENT GÉNÉRIQUE par Lotfi Benbahmed vice président du CNOP Pour ou contre la prescription du médicament générique?