UNIVERSITE DES SCIENCES SOCIALES ET DE GESTION DE
BAMAKO (USSGB)
Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FSEG)
Module : Développement personnel
Licence :
Semestre :
Année :
1. Origines et évolution :
La notion de développement personnel bien que relativement récente trouve ses
origines :
• dans la philosophie antique chinoise avec Confucius-551 avant JC et grecque
avec Epicure ;
• dans la psychologie moderne, dont plus particulièrement la psychologie
humaniste (réalisation de la personne) et la psychologie positive (études des
personnes épanouies et en bonne sante).
1. Origines et évolution (suite) :
Dans sa « Grande Étude » Confucius (551 – 479 av. J.-C.) montre explicitement
que le développement personnel est à l’origine de l’organisation de la famille
et de l’État.
Il avançait déjà que le Développement personnel renvoie à toutes les activités
proposant :
de développer une connaissance de soi « le rapport de l’individu avec lui-
même, la conscience de l’individu sur lui-même »,
de valoriser ses talents et potentiels,
de travailler à une meilleure qualité de vie, et à la réalisation de ses aspirations
(ambitions, attentes…) et de ses rêves.
1. Origines et évolution (suite) :
Quelques principes de Confucius
• Le silence est un ami qui ne trahit jamais
• Qui veut gravir une montage commence par le bas
• L'homme qui déplace une montagne commence par déplacer les petites pierres
• Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. ...
• Le bonheur n'est pas toujours dans un ciel éternellement bleu, mais dans les
choses les plus simples de la vie. ...
• La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents
• Le plus grand voyageur est celui qui a su faire une fois le tour de lui-même.
1. Origines et évolution (suite) :
Epicure et la philosophie de l’équilibre
Le plaisir, dit Épicure, est le principe et la fin de la vie heureuse (À Ménécée, 129) . Mais
pour jouir sereinement de certains plaisirs, il faut d’abord la paix de l’âme, la sérénité,
l'ataraxie (absence de trouble).
En réalité, il s'agit d'une philosophie d'équilibre, fondée sur l'idée que toute action entraîne
à la fois des effets plaisants (positifs) et des effets amenant la souffrance (négatifs).
Le principe le plus important de la doctrine d'Épicure est de vivre selon la prudence quand
on cherche le plaisir.
1. Origines et évolution (suite) :
Deux doctrines du bonheur
• Hédonisme : Doctrine philosophique qui considère le plaisir comme un bien
essentiel, but de l'existence, et qui fait de sa recherche le mobile principal de
l'activité humaine ;
• Eudémonisme : Doctrine morale selon laquelle le but de l'action est le
bonheur (satisfaction des besoins, aspirations et désirs jugés importants, état
émotionnel de contentement).
1. Origines et évolution (suite) :
Courants théoriques modernes comme :
• La pensée positive (1952) de Norman Vincent Peale ( Quand on veut, on peut
ou compter sur ce qui est à votre faveur) ;
• L’analyse transactionnelle (AT) (vers 1960), créée par Éric Berne (l’étude des
rapports sociaux avec comme principe, chaque être humain a de la valeur, de
l’importance de la dignité) ;
• La programmation neurolinguistique (PNL) (1973) de Richard Bandler et John
Grinder (transfère de savoir faire des personnes qui ont réussi) ;
1. Origines et évolution (suite) :
Emile Coué et le principe de la suggestion consciente :
« Toute pensée occupant uniquement notre esprit devient vraie pour nous et a
tendance à se transformer en acte. »
• Il élabore donc une méthode qui fait appel à la suggestion consciente d'idées
positives.
• Et il condense sa méthode en une phrase-clef : « Tous les jours, à tous points
de vue, je vais de mieux en mieux », à répéter 20 fois le matin et 20 fois le
soir, en vue de conditionner l’imagination de manière favorable.
1. Origines et évolution (suite) :
De nos jours, le développement personnel met l’accent sur les applications en
termes d’accompagnement managérial des individus dans leur progrès
professionnel :
• Apprendre à vous écouter et vous accepter comme vous êtes.
• Développer de la confiance et de l’estime de soi, devenir acteur de sa vie.
• Surmonter les obstacles, apprendre à fonctionner au mieux, quelques soient
les difficultés rencontrées et utiliser vos ressources pour aller de l’avant.
• Renforcer votre motivation pour agir, définir vos objectifs avec précision pour
les atteindre. Exprimer vos besoins, développer des relations constructives et
épanouissantes avec votre entourage familial, amical et professionnel.
1. Origines et évolution (suite) :
Le développement personnel renvoie à des pratiques qui touchent les
particuliers et également les entreprises qui l’associent au coaching, au
management, à la formation mais aussi à la santé mentale, la thérapie, la relation
d’aide et le conseil.
2. Définition et objets du développement personnel :
• Le Développement Personnel (DP) renvoie à de nombreux concepts connexes et
à plusieurs champs disciplinaires ;
• Nous abordons le développement personnel sous une posture pragmatique qui
nous conduit à nous positionner dans le champ de la psychologie positive et du
management pour aborder le DP ;
• Cette recherche contribue ainsi à faire du DP un objet de connaissance pour la
recherche et un instrument utile pour les pratiques de management ;
• En effet, le modèle obtenu apporte un éclairage utile sur la mise en œuvre de
pratiques de GRH socialement responsable, que ce soit en termes de diversité,
de développement des compétences ou de bien-être au travail.
2. Définition et objets du développement personnel (suite) :
Le développement personnel c'est avant tout une démarche globale de soi autour de
différentes idées telles que la réflexion de soi, la valorisation de son image et de
son potentiel. Tout cela dans le but d'améliorer la qualité de sa vie, avoir une
meilleure confiance en soi et réaliser ses profondes aspirations.
Le développement personnel renvoie à toutes les activités proposant de
développer une connaissance de soi, de valoriser ses talents et potentiels, de
travailler à une meilleure qualité de vie, et à la réalisation de ses aspirations et de
ses rêves.
2. Définition et objets du développement personnel (suite) :
Concrètement, le développement personnel permet d’améliorer sa qualité de vie
en améliorant son quotidien ou ses performances en se défaisant de certaines
difficultés de vie ou pathologies.
Le développement personnel appliqué correspond à la formation destinée aux
personnels des entreprises et visant à développer, de manière profonde et
durable, la posture et les compétences comportementales, émotionnelles,
relationnelles et de leadership, des personnes et des équipes, afin qu'elles
atteignent ensemble un but.
2. Définition et objets du développement personnel (suite) :
• Le développement personnel est une démarche volontaire de travail sur soi visant à mieux
comprendre, analyser et contrôler ses émotions, renforcer ses compétences personnelles et
développer son potentiel afin de se sentir mieux individuellement, et d’entretenir des relations
de meilleure qualité avec son environnement et sa communauté.
• Soi : le terme soi renvoie à l'individu, à la distinction de celui-ci, ou à la conscience qu'il peut
avoir de lui-même.
• connaissance de soi : conscience de soi, le soi réel et non le soi idéal
• management de soi : action de gérer sa propre personne),
• accomplissement de soi : réalisation de soi, atteinte des objectifs de développement de sa
personne
• Epanouissement : sentiment d'accomplissement et d'utilité que peut ressentir un salarié dans
son entreprise.
• épanouissement personnel : bien être, se sentir mieux, avoir confiance en soi et être à l’aise
avec son entourage.
2. Définition et objets du développement personnel (suite) :
Quelques concepts clés liés au développement personnel
• Plaisir : Sensation ou émotion agréable, liée à la satisfaction d'un désir, d'un
besoin matériel ou mental, bien-être, contentement.
• Bonheur : un état durable de plénitude et de satisfaction des aspirations et désirs
jugés importants
• recherche du bonheur : satisfaction des besoins, aspirations et désirs jugés
importants, état émotionnel de contentement.
• Bien être (individuel et social) :État agréable résultant de la satisfaction des
besoins du corps et du calme de l'esprit
3. Pourquoi le développement personnel ?
Se lancer dans une démarche de développement personnel présente de nombreux
avantages :
• atténuer nos points faibles en renforçant nos points forts ;
• diminuer nos craintes en mettant en valeur notre potentiel, nos compétences ;
• travailler sur notre motivation en éliminant nos croyances limitantes ;
• améliorer notre confiance en nous, nos relations aux autres et avec nous-mêmes ;
• créer les conditions pour se sentir plus heureux, plus enthousiaste, plus maître de soi et
de sa vie ;
• aider ses collaborateurs et ses proches à trouver en eux de nouvelles ressources.
• Voir les évènements s'enchaîner les uns aux autres dans le sens de ses objectifs ;
• Trouver des solutions là où les autres voient des problèmes ;
3. Pourquoi le développement personnel (suite) ?
• Améliorer sa relation avec soi-même et avec les autres ;
• Apprendre à mieux se connaître pour ses sentir plus libre et aller plus loin dans son
développement personnel ;
• Valoriser son potentiel personnel pour accroître son impact professionnel ;
• Apprendre à ajuster son mode de fonctionnement pour ne plus se sentir tendu, nerveux ou
stressé ;
• Dégager de l'assurance et garder à volonté son sang-froid que donne la maîtrise de soi en
toutes circonstances ;
• Devenir maître de ses émotions ;
• Améliorer l'estime de soi ;
• Découvrir les techniques qui permettront à l'individu d'atteindre plus facilement ses objectifs.
4. Les techniques utilisées par le développement personnel
• Les parcours thérapeutiques (psychologie, psychanalyse, psychothérapie)
• Le coaching (individuel et professionnel) : est une méthode d'accompagnement qui vise à
renforcer le potentiel, la motivation et les ressources de chaque individu
• Le mentorat : Il a pour objectif de jumeler une personne qualifiée ou possédant une
expérience avec quelqu’un qui a fait le choix de développer ses apprentissages, d’évoluer
dans un domaine ou d’améliorer ses compétences. Le partage et la relation entre les
binômes allient transferts de connaissances (savoirs, savoir-faire et savoir être),
bienveillance et confiance.
• La méditation : Une pratique qui consiste à entraîner l'esprit afin qu'il se libère des pensées
négatives
• La relaxation : est un exercice qui contre la réaction de stress à un niveau physique et
mental
• Les spiritualités : la recherche d'un sens profond à la vie, à ses événements et d'une
5. Les axes de travail autour desquels s’articule le développement personnel
• La relation à soi : comment puis-je développer mes capacités à devenir le
meilleur de moi-même, à cesser de me dévaloriser pour devenir mon meilleur
compagnon de vie ;
• La relation à l’autre ou la manière dont j’enrichis ou au contraire je sabote mes
relations à autrui et comment je peux créer des relations authentiques ;
• La relation à son histoire : comment mon parcours de vie, mes expériences
contribuent à faire ce que je suis et comment agir pour écrire mon histoire de vie
en conscience et ne plus la subir.
6. Les cibles du développement personnel
Le développement personnel s’adresse à ceux qui cherchent l’épanouissement.
d’un côté les débutants qui se posent des questions ou qui en entendent parler ;
Pourquoi les débutants ?
de l’autre les « pratiquants » ou confirmés toujours en quête de nouvelles
victoires.
Pourquoi les pratiquants ?
7. Quand est-ce que je m’intéresse au développement personnel ?
• Moments/tranches de vie (en quête de bonheur, mais également des périodes de
crise (divorce, séparation...)) ;
• Evènements particuliers :…………….
• Envie de changement ;
• Reconversion professionnelle.
8.
8.1. La maîtrise de soi et leadership
• Pour diriger ou mener les autres, je dois me connaître d’abord ;
• Ainsi, une responsable doit d’abord définir sa propre orientation. Cela indique
que vous savez qui vous êtes, que vous avez pris conscience de votre
personnalité et de vos comportements, et que vous vous respectez en tant que
personne avec ses compétences et ses limites.
8.1. La maîtrise de soi et leadership
• La maîtrise de soi est la capacité de contrôler ses émotions et de réprimer des
réactions ou des comportements négatifs face à la provocation, à l’opposition
ou à l’hostilité d’autres personnes ou dans des conditions stressantes.
• Elle se traduit également par la capacité de maintenir son énergie dans des
situations de stress prolongé.
• Tous les humains sont dans leur vie régulièrement confrontés à des situations
difficiles qui génèrent de la tension et du stress.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Quand on parle de maîtrise de soi, on y associe d’autres thématiques :
• L’image de soi – la perception qu’une personne a d’elle-même – qui elle est
(émotion intérieure) ;
• L’estime de soi – l’appréciation et la valorisation des actions d’une personne– ce
qu’elle fait (réaction externe et visible pour les autres) ;
• La valeur de soi – l’évaluation de sa propre personne,
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
• On peut dire que la valeur de soi est la somme de l’image de soi + l’estime de
soi. Si les deux éléments ont une valeur positive, la valeur de soi est positive, et
si l’un de ces éléments est faible, alors l’autre doit compenser pour que
l’équilibre soit respecté.
• L’image de soi doit être développée par la personne elle-même tandis que
l’estime de soi peut être soumise à l’influence d’autrui.
• La valeur que vous avez de vous-même et l’image de soi influencent vos
attitudes, votre vision de la vie, vous-même et d’autres personnes et de ce fait
aussi votre comportement. Finalement, votre qualité de vie repose sur la
perception que vous avez de vous-même.
• Votre estime de soi grandit quand vous sentez que vous êtes la personne que
vous voulez être (identité) et quand vous réalisez les choses qui ont de
l’importance pour vous (sens).
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Conseils pour renforcer et maintenir une haute estime de soi :
• Se connaître et s’accepter :
La première règle est de se connaître. Il faut être capable d’identifier ce que j’aime
et ce que je n’aime pas. Il faut pouvoir parler de nos réussites, mais également de
nos échecs. Il faut aussi pouvoir reconnaître nos défauts et nos qualités. Mais se
connaître n’est pas suffisant. Il faut avant tout s’accepter. Il n’est pas nécessaire de
n’avoir que des qualités pour avoir une bonne estime de soi.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Conseils pour renforcer et maintenir une haute estime de soi :
• Se fixer des objectifs :
Un bon moyen de prendre conscience de son potentiel est d'accomplir un défi quelconque.
La vie quotidienne nous fournit une foule d'objectifs, de défis, même parfois modestes, qui,
une fois atteints, nous permettent d’améliorer notre estime de soi. Nous t’invitons à te
choisir un défi : lire un livre, cesser de fumer, maigrir, suivre un cours et à t’engager dans
cette activité.
Se joindre à un groupe peut constituer une aide appréciable. On peut participer à des
groupes de toutes sortes : cuisine, dessin, danse, etc. Le fait de pouvoir réaliser quelque
chose sous le regard des autres suffit souvent à déclencher tout un processus. On se sent
valorisé à l'intérieur du petit groupe, on acquiert un peu d'assurance et ça y est, on est lancé.
L'essentiel est donc de partager ce que nous sommes, ce que nous avons acquis. Il faut
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Conseils pour renforcer et maintenir une haute estime de soi :
• Apprécier qui nous sommes :
Si nous analysons notre façon de nous définir, nous pouvons constater que notre regard
se porte sur nos faiblesses plutôt que nos forces et nos qualités. Afin de t’aider à mieux
t’analyser, nous te proposons l'exercice suivant: ferme les yeux et imagine la personne
qui est pour toi la plus chère au monde, exprime-lui ce que tu aimes le plus chez elle.
Observe comme il a été facile de trouver des qualités à quelqu'un que tu estimes
beaucoup. Maintenant, va devant un miroir et exprime à haute voix ce que tu aimes en
toi, tes qualités et tes points forts. Pratique cet exercice chaque jour. Ce que tu exprimes
affecte ta perception de toi-même et par conséquent ton estime de soi.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Conseils pour renforcer et maintenir une haute estime de soi :
• Rechercher des liens positifs :
Entoure-toi de gens qui t’amènent à te sentir bien. L’ensemble des relations que tu entretiens avec les personnes de
ton entourage est un élément essentiel de l'estime de soi. C’est ce soutien social qui procure le sentiment d'être
aimé et d'être aidé et qui est si important pour l'estime de soi.
Nous avons tous besoin d’un système de soutien en plus de notre famille immédiate. Il s’agit souvent d’un ami
intime à qui nous pouvons nous confier et en qui nous pouvons avoir confiance. C’est une personne qui nous
accepte comme nous sommes et sur qui nous pouvons compter.
Ce sentiment d’appartenance que nous retirons de cette relation intime contribue à notre sentiment de valorisation
envers nous-mêmes. Il faut cependant toujours garder à l’esprit que notre valeur n’est pas entièrement déterminée
par cette personne.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Conseils pour renforcer et maintenir une haute estime de soi :
S’affirmer :
Nos rapports, pour être positifs, exigent que nous puissions nous affirmer.
L’affirmation de soi, c’est la capacité d’exprimer ce qu’on pense, ce qu’on veut, ce qu’on ressent, tout en
respectant ce que l’autre pense, veut et ressent. Mais l'affirmation de soi ne sert pas seulement à obtenir ce
que l'on veut et à se faire respecter, elle nous permet de nous sentir bien et d’augmenter notre estime de soi.
S'affirmer nécessite de se respecter suffisamment pour se donner des droits face aux autres : le droit de
contredire, de répondre, de refuser, de demander, etc. Par conséquent les personnes ayant un bas niveau
d'estime de soi, trop sensibles au risque de rejet, ont du mal à s'affirmer de peur d'être rejeté. Apprendre à
s’affirmer augmentera sans contredit ton estime de soi.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Les attitudes propices à l’estime de soi
Reconnaître que nous ne sommes pas infaillibles : Ne t’abaisse pas toi-même. Si tu fais
une erreur, au lieu de te critiquer, prends le temps d'examiner ce que tu as appris. Au
lieu de te dire : "Je ne suis bon à rien, j'ai raté un examen.", dis-toi plutôt : "La
prochaine fois, je ferai mieux.«
Être persévérant : La persévérance consiste à persister dans une activité afin d’atteindre
le résultat recherché. La persévérance nous permet de ne pas se décourager malgré les
obstacles. Elle englobe un désir de réussir et les obstacles sont considérés comme des
défis à relever. La persévérance exige donc de la ténacité.
Conseils pour renforcer et maintenir une haute estime de soi :
Les attitudes propices à l’estime de soi
Être capable de prendre des risques : L’estime de soi se construit en relevant des défis, qu’il
s’agisse d’aller chercher un emploi ou encore de nous lancer dans une nouvelle entreprise.
Dans toutes ces situations, le risque est présent : celui de déplaire, de perdre la face, d’échouer,
etc.
Éviter les pièges de la comparaison : Nous sommes souvent portés à nous comparer aux autres
lorsque nous nous évaluons, et ce à plusieurs niveaux (Apparence: Lucie est plus belle que
moi. Performance sportive: Pierre est plus habile que moi au tennis.) De telles comparaisons
influencent négativement notre estime de soi. Soyez réaliste. Essayer d’être parfait et de se
comparer à l’autre nuit à l’estime de soi.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
• Les attitudes propices à l’estime de soi
Cesser le dialogue interne négatif : Le « dialogue interne critique », ce sont les pensées critiques que
nous nous adressons telles que « Ça ne marchera pas. », « C’est inutile, à quoi bon? » ou encore «
C’était raté. ». Toutes ces pensées nuisent à notre estime de soi.
Ainsi, il faut prendre conscience de leur existence et les confronter en te posant les questions suivantes :
- Cette pensée est-elle réaliste?
- Est-ce que cette pensée m’aide à me sentir mieux?
- Est-ce que cette pensée m’aide à faire face à la situation?
- Est-ce que les autres auraient le même type de pensée que moi face à cette situation?
Si la réponse est NON, il faut donc la changer, car elle a des conséquences négatives sur l’estime de soi.
Il faut changer ces pensées par des pensées plus réalistes et plus constructives.
8.1. La maîtrise de soi et leadership (suite)
Huit principes clés du leadership sont identifiés pour développer des qualités de
leadership :
• vision
• confiance
• participation
• apprentissage
• diversité
• créativité
• intégrité
• communauté
8.2. La satisfaction des besoins comme levier de motivation selon Maslow
Le premier à avoir introduit le développement personnel dans la sphère
professionnelle est Abraham Maslow. Il a proposé une hiérarchie des besoins
représentée sous forme de pyramide, avec, au sommet, l’accomplissement de soi,
défini comme le désir de devenir de plus en plus ce qu’on est et de devenir
totalement ce qu’on est en mesure de devenir.
• Qu’est-ce qui vous pousse à agir – et à réagir? Quelle est votre motivation,
votre bouton de “mise en marche” ?
• Abraham Maslow (1908 – 1970), a défini la motivation comme un levier qui
permet à l’individu de satisfaire ses besoins.
8.2. La satisfaction des besoins comme levier de motivation selon Maslow
Il a classé les besoins humains par ordre d’importance en cinq niveaux: les besoins
physiologiques, les besoins de sécurité et de protection, les besoins d’amour et
d’appartenance, les besoins d’estime et le besoin d’actualisation de soi, dans cet ordre.
• Les besoins physiologiques
Tels que nourriture, vêtements, chaleur suffisante – ou les besoins primaires de survie (.
• Les besoins de sécurité et de protection
Lorsque les besoins physiologiques sont largement satisfaits, c’est là qu’intervient le
second niveau de besoins. De plus en plus, vous aspirerez à des situations offrant
sécurité, stabilité et protection. Vous aurez peut-être besoin de structures, d’ordre et de
certaines limites.
8.2. La satisfaction des besoins comme levier de motivation selon Maslow
• Les besoins d’amour et d’appartenance
Lorsque les besoins physiologiques et de sécurité sont satisfaits dans l’ensemble, un troisième
niveau apparaît. Vous ressentirez alors le besoin d’amitiés, d’un amour, d’enfants, de relations
affectueuses en général, voire même un sens de la communauté.
• Les besoins d’estime
Ensuite, nous commençons à rechercher un peu d’estime de soi. Maslow a identifié deux
niveaux de besoins d’estime, de niveau inférieur et supérieur. Le niveau inférieur correspond au
besoin du respect des autres, au besoin d’un statut, de célébrité, de gloire, de reconnaissance,
d’attention, de réputation, d’appréciation, de dignité, voire même de domination.
8.2. La satisfaction des besoins comme levier de motivation selon Maslow
L’actualisation de soi. Maslow a utilisé une variété de termes pour définir ce niveau : il l’a désigné
comme la motivation de la croissance (par opposition à la motivation de déficience), besoins de l’Être
(ou E-besoins, par opposition aux D-besoins), et actualisation de soi.
L’actualisation de soi nourrit en permanence le désir de réaliser les potentiels, “d’être tout ce que vous
pouvez être.” Ils vont favoriser la croissance du “vous” le plus complet – d’où l’expression,
actualisation de soi.
quand vous opérez en mode d’actualisation de soi, vous travaillez souvent plus dur, vous vous
concentrez moins sur les besoins du niveau inférieur, et accomplissez plus que vous ne l’auriez imaginé.
vous vous sentez heureux, confiant – en d’autres mots, vous avez atteint un sommet de performance
maximale ou expérience maximale.
8.2. La satisfaction des besoins comme levier de motivation selon Maslow
• Les besoins d’auto-accomplissement
Il correspond au besoin de se réaliser, d’exploiter et de mettre en valeur son potentiel
personnel dans tous les domaines de la vie.
Ce besoin peut prendre des formes différentes selon les individus :
pour certains ce sera le besoin d’étudier, d’en apprendre toujours plus, de développer
ses compétences et ses connaissances personnelles ;
pour d’autres ce sera le besoin de créer, d’inventer, de faire ; pour d’autres ce sera la
création d’une vie intérieur...
C’est aussi le sentiment qu’à une personne de faire quelque chose de sa vie.
Pyramides des besoins de Maslow
9. Développement personnel et types de personnalité
9.1. Définition de la personnalité :
La personnalité est l'ensemble des dispositions individuelles qui nous caractérise
et qui nous différencie des autres tant dans notre manière de nous comporter,
que dans notre manière de penser, d'interpréter la réalité et de vivre des émotions.
Plusieurs auteurs ont travaillé sur les types de personnalité et leurs liens avec le
développement personnel et le management.
9. Développement personnel et types de personnalité
Selon Galien :
La personnalité flegmatique
La personne flegmatique est calme, fiable, réfléchie. Leur personnalité réservé et timide peut souvent inhiber les
autres tempéraments comme le sanguin. Elle est souvent très cohérente, détendue et observatrice.
• Les employés flegmatiques sont bons pour gérer les tâches répétitives ou les emplois axés sur les détails et
le fignolage de leur travail.
• Ils savent écouter ce que chaque personne de l’équipe a à dire et à proposer, c’est l’une de leurs plus grandes
forces.
• Leur personnalité leur permet également de se calmer rapidement en cas de conflit sur leur lieu de travail, mais
aussi de mettre leur flegme au service de la vie en entreprise, notamment lors de période de stress.
• Le type de personne flegmatique peut avoir besoin d’être encouragé à assumer de nouvelles responsabilités au
travail, ou à faire confiance à leurs idées, car ils manquent d’initiative et d’ambition, et ont tendance à
tergiverser, notamment en cas de stress ou de baisse de confiance.
9. Développement personnel et types de personnalité (suite)
Types selon Galien (suite)
La personnalité mélancolique
La personne mélancolique est réservée, anxieuse et malheureuse. Souvent agréables et attentionnés,
les profils mélancoliques peuvent s'avérer très créatifs mais aussi excessivement concernés par la
tragédie humaine, ce qui les conduit à déprimer.
• Les employés mélancoliques ont tendance à s’inquiéter plus que les autres et sont sensibles au
stress, que ce soit dans le cadre de leur vie professionnelle ou de la gestion du travail à réaliser.
• Le caractère mélancolique aime être mis au défi intellectuellement et émotionnellement. Mais
ils ne réagissent pas bien lorsque les choses tournent mal, car il leur est difficile de rebondir
après une déception, qui va jouer sur leur santé mentale, et donc leur confiance en eux et en leur
9. Développement personnel et types de personnalité (suite)
Types selon Galien (suite)
La personnalité sanguine
La personne sanguine est joyeuse, avide et optimiste. Elle peut-être rêveuse au point de ne rien accomplir et
être aussi impulsive, agissant de façon imprévisible. C’est une personnalité qui comme le flegmatique a
beaucoup d’amis.
• Ce type de personnalité est avide de nouveautés et désireux de mettre leurs idées à exécution, du fait de leur
cerveau toujours en mode dynamique.
• Toutefois, ils sont susceptibles de vite se sentir frustrés ou découragés quand ils ont l’impression de ne pas
avoir le droit de donner libre cours à leur inventivité et à leur ambition, au service de leur travail quotidien.
• Pour travailler avec succès avec ces employés au caractère sanguin, assurez-vous de les tenir
informés de l’avancement des projets et des difficultés rencontrées, afin qu’ils soient au courant de la santé
de l’entreprise et des forces que représente leur travail et leur contribution. Car reconnaître les aspects négatifs
d’une situation peut en effet contribuer à maintenir leur engagement, leur confiance et leur intérêt pour la
9. Développement personnel et types de personnalité (suite)
Types selon Galien (suite)
La personnalité sanguine
Enfin, lors de l’embauche d’une personne avec ce genre de profil de caractère, il est
important de se demander si ce type de personnalité s’adaptera ou non à la culture
de votre entreprise. Car, si vous devez respecter des délais de travail stricts, si vous avez
une stratégie d’entreprise fixée et pas de place pour la fantaisie et l’innovation,
cette personne aux traits de caractère sanguin ne sera probablement pas le profil le mieux
adapté à la vie dans votre entreprise.
9. Développement personnel et types de personnalité (suite)
Types selon Galien (suite)
La personnalité colérique
La personne colérique est passionnée, ambitieuse, audacieuse et aime être un leader avec souvent un
ascendant sur les tempéraments flegmatiques. Ce profil, qui est facilement fâché ou de mauvaise
humeur, peut se montrer mesquin et méfiant.
• Les employés qui appartiennent à cette catégorie de caractère colérique aiment les luttes de
pouvoir et prendre les choses en main dans leur métier.
• Ils sont connus pour leur ambition au travail et leur désir d’être les meilleurs dans tout ce qu’ils
font. Ce profil de personnalité colérique se dépassera jusqu’à ce qu’il atteigne ses objectifs, car
leur détermination fait partie de leurs plus grandes forces.
• Cependant, ce type de tempérament colérique peut les rendre têtus ou compétitifs à l’excès, des
traits qui se transformeront alors en faiblesses.
• Tout comme le fait que, parfois, ces employés peuvent aussi ne pas tenir compte des opinions des
autres et prendre mal les critiques qui sont formulées à leur encontre, ce qui peut nuire à leur santé
9. Développement personnel et types de personnalité (suite)
Types selon Galien (suite)
La personnalité colérique
• Pour aider les employés à la personnalité colérique à réussir dans leur vie
professionnelle, il est donc préférable de leur donner des postes de travail
qui correspondent à leurs compétences métiers, avec une certaine autonomie
pour la réalisation d’objectifs de travail spécifiques et définis. Ainsi, vous tirerez
profit au mieux de leurs forces, tout en minimisant les impacts de leurs faiblesses.
• Leur tempérament et leur caractère les inclinent vers des rôles de direction ou des
emplois impliquant la résolution de problèmes. Ainsi, ce type de personnalité
colérique pourra faire fonctionner leur cerveau à plein régime, dans une carrière
où ils pourront avoir confiance en leur utilité et leur service à l’entreprise.
10. Le questionnaire MBTI de compréhension des différents
types de personnalité
Voir document Word
11. Coaching et Développement personnel
11.1. Un coach : qu’est-ce que c’est ?
D’après la Coaching Fédération, « Un coach professionnel est un partenaire actif qui aide ses
clients à atteindre leurs résultats dans leur vie personnelle et professionnelle. Grâce au
coaching, les clients approfondissent leur apprentissage, améliorent leur performance et
développent la qualité de leur vie. »
En sa qualité de facilitateur, les missions du coach peuvent porter sur de très nombreux aspects :
• Faire face aux changements (ici, le coach fait figure de facilitateur en conduite du
changement)
• Développer les compétences techniques et accompagner le gain de performances d’un
individu ou d’une équipe, lors d’un coaching centré sur le management
• Développer la cohésion d’équipe
• Contribuer à la réussite des objectifs professionnels et/ ou personnels du coaché
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.2. Pourquoi faire appel à un coach en développement personnel ?
a. Pour travailler sur ses faiblesses et gagner en confiance en soi :
Faire appel à un coach en développement personnel ou à un formateur permet donc de
travailler sur les aspects que l’on souhaite améliorer, grâce à un accompagnement individuel
ou collectif, comme :
• Le manque de confiance en soi
• Des difficultés à s’exprimer en public
• Gagner en efficacité professionnelle
• Harmoniser ses relations professionnelles
• Gérer son stress et ses émotions
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.2. Pourquoi faire appel à un coach en développement personnel ?
a. Pour travailler sur ses faiblesses et gagner en confiance en soi (suite) :
Dans le cadre d’une session de formation en développement personnel, les formateurs mettent en
œuvre des techniques du développement personnel pour aider des professionnels à :
• Mieux se connaître (à l’aide d’autodiagnostics) ;
• Travailler sur son propre développement, grâce à des exercices, des mises en situation ou des
ateliers ;
• Mettre en place des plans d’action, pour travailler sur le long terme et garantir la réussite de son
projet.
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.2. Pourquoi faire appel à un coach en développement personnel
b. Pour développer de nouvelles compétences
Le développement personnel couvre également un large spectre relatif au développement de
compétences comportementales, ou soft skills.
• Dans le cadre d’une évolution de carrière, il est bien souvent requis de posséder certaines
compétences en gestion de conflit, en communication, en leadership etc.
• Ces compétences clés sont gages d’efficacité, notamment pour exercer des missions pour lesquelles
vos compétences techniques seules ne suffisent pas.
• Dans ce cadre, un coach professionnel ou un formateur sont de précieux atouts pour développer de
nouvelles compétences transversales.
• Ces professionnels contribuent à accompagner des équipes, des organisations ou une seule personne et
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.3. Quel est le rôle du coach ?
a. Le rôle du coach professionnel
Le rôle du coach professionnel est d’accompagner des salariés ou des équipes dans le développement de
leurs potentiels et de leurs savoir-faire, dans le cadre d’objectifs professionnels :
• Montée en compétences
• Evolution de carrière
• Aide à assimiler le changement
• Coaching individuel
• Coaching collectif
• Coach de dirigeant
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.3. Quel est le rôle du coach ?
b. Le rôle du manager coach
Un manager coach possède des compétences propres au coach professionnel, sans que cela ne soit
pas son métier. Cette attribution s’intègre dans sa fonction de manager.
Il s’agit ici d’un manager possédant les bases lui permettant de coacher son équipe et d’agir en
tant que guide et de conseiller.
En plus de gérer, contrôler et de piloter son équipe, il met en œuvre les pratiques de
l’accompagnement, notamment pour :
• Développer les potentiels et les savoirs (savoir-faire et savoir-être)
• Ecouter, conseiller et former ses collaborateurs
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.3. Quel est le rôle du coach ?
c. Le rôle du coach en développement personnel/ coach de vie
Le rôle du coach en développement personnel est d’aider la personne coachée à
développer et améliorer certains aspects liés à sa vie personnelle.
• Il peut s’agir d’améliorer la qualité de ses relations avec son entourage, de
gagner en confiance en soi etc.
• Ce coach s’adresse majoritairement à des particuliers souhaitant bénéficier de
l’appui d’un professionnel.
11. Coaching et Développement personnel (suite)
11.4. Quand faire appel à un coach en développement personnel ?
a. Lors d’une évolution de carrière ou d’un changement de poste
Un changement de poste ou une évolution de carrière sont des moments de vie dans lesquels on éprouve généralement des
difficultés liées à sa propre image ou à ses compétences.
• Il peut également s’agir de développer de nouvelles compétences transversales (ou soft skills), lorsque vous êtes
amené(e) à occuper une position managériale ou à assumer de nouvelles responsabilités :
• Gagner en leadership,
• Développer son assertivité et sa communication interpersonnelle,
• Mieux gérer les conflits dans son équipe,
• Prendre des décisions avec recul et objectivité,
• Améliorer la qualité des relations,
Dans ce cas, le fonctionnement du coaching sera généralement comme suit :
• La définition des objectifs que l’on souhaite réaliser,
• Un suivi, via un accompagnement de quelques semaines à quelques mois,
• Des conseils personnalisés,
11. Coaching et Développement personnel (suite)
b. Lors de difficultés liées à votre vie professionnelle
Les entreprises peuvent réaliser des actions de formation ou de coaching, via un
coach professionnel ou un formateur spécialisé dans la thématique du
développement personnel, pour traiter :
• Manque de confiance en soi,
• Difficultés à prendre la parole en public,
• Difficultés à gérer des situations de conflit,
• Difficultés à prendre des décisions,
• Mauvaise gestion du stress ou du temps,
11. Coaching et Développement personnel (suite)
c. Lors de difficultés liées à votre vie personnelle
La visée est identique à celle d’un coaching professionnel, à savoir bénéficier de conseils et
d’accompagnement pour réaliser ses objectifs personnels :
• Arrêter de fumer,
• Mieux gérer son temps,
• Faire face à un changement professionnel ou personnel,
• Apprendre à s’affirmer en société,
• Mieux gérer sa vie personnelle et professionnelle,
• Perdre du poids/ améliorer ses performances sportives,
• Gérer efficacement une reconversion,
12. Compétences clés et Développement personnel
12.1. Qu’est-ce qu’une compétence clé ?
On considère comme compétence clé toutes les compétences et capacités nécessaires à son
employabilité. On parle en majorité de compétences techniques (hard skills), ou de capacités
clés en situation professionnelle, mais la compétence clé est à rapprocher des compétences
comportementales (soft skills), ou du savoir-être.
• Il est nécessaire de distinguer les compétences de base (savoir parler et écrire le français,
compter, utiliser un ordinateur etc.), relatives à l’éducation, des compétences clés.
• Ces aptitudes sont, selon de nombreuses études, recherchées par de nombreux employeurs,
car elles correspondent à des compétences clés en situation professionnelle, qui permettent de
distinguer des candidats disposant d’une expérience équivalente.
12. Compétences clés et Développement personnel (suite)
12.2. Quelques exemples de compétences clés générales?
Comme nous l’avons vu, il faut distinguer le savoir-faire (propre aux compétences techniques) du
savoir-être. Les compétences clés correspondent donc à des capacités personnelles, permettant de se
comporter dans un environnement professionnel.
• Parler en public avec aisance
• Parler en public avec aisance
• La communication interpersonnelle
• Sa capacité à s’adapter au changement
• La gestion des priorités
• La créativité
• L’intelligence émotionnelle
• L’esprit d’initiative
12. Compétences clés et Développement personnel (suite)
Quelques compétences clés en entreprise
• Organisation et gestion du temps
• La créativité
• La motivation
• Confiance en soi et assertivité
• Intelligence émotionnelle
• Facultés d’expression orale et écrite
• Négociation
• Prise de décisions
• Capacité d’adaptation
• Esprit critique
12. Compétences clés et Développement personnel (suite)
Au contraire, les compétences techniques correspondent majoritairement à des
compétences permettant de réaliser des tâches spécifiques :
• Compétences managériales
• Maîtrise d’un outil informatique
• Compétences en numérique
• Connaissances en langue, en sciences etc.
12. Compétences clés et Développement personnel (suite)
12.3. Comment développer ses compétences clés ?
Il est tout à fait possible de développer ses compétences clés, soit :
• par le biais de l’auto-apprentissage, dans le cadre du développement personnel,
• Soit par le biais du coaching ou de la formation individuelle ou en équipe.